Emmanuel Macron : promouvoir un travail sur « les traumatismes liés à la colonisation »
Dans un dossier intitulé « action internationale » le candidat Emmanuel Macron énumère plus son bilan en Afrique, durant son quinquennat, sous le prisme français : «Les Français sont mieux protégés, peut-on lire. La France agit avec détermination contre les groupes terroristes au Sahel, en Méditerranée et au Levant. Elle a renforcé la coopération sécuritaire avec ses principaux partenaires européens et internationaux».
Emmanuel Macron propose «un agenda ambitieux entre l’Afrique et la France» où il est question de gouvernance et de coopération économique mais aussi de promotion du travail sur «les traumatismes liés à la colonisation» engendrés en Afrique.
Durant sa présidence, à la tête de la République française, Emmanuel Macron a enclenché le processus de restitution d’objets culturels africains dépouillés par la France, durant la période coloniale. Il a initié des séances d’échanges ouvertes, sur les questions de l’heure, et les perspectives des relations de la France en Afrique, en impliquant les jeunes générations et la société civile. Il a maintenu les troupes françaises au Sahel, pour empêcher l’avancée des militants djihadistes qui s’en prennent aux civils et soldats locaux. Il a publiquement reconnu au Rwanda les échecs de la France pendant le génocide de 1994.
Marine Le Pen : Mettre en avant «la realpolitik plutôt que le sentiment»
Dans son programme la candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, qualifiée au deuxième tour évoquant l’un de ses sujets préférés l’immigration dit s’inquiéter de la pression notée démographique sur le continent africain qui, ajoutée aux problèmes de «mauvaise gouvernance», de «tensions» et de «changements climatiques» font de l’immigration l’un des «défis du XXIe siècle».
Marine Le Pen, si elle est élue, présidente de la République veut restaurer l’influence de la France dans des zones qu’elle dit «gangrénées par le terrorisme» (Libye, Corne de l’Afrique, Canal du Mozambique…). Elle propose également un «aggiornamento radical» de la philosophie des opérations extérieures de la France, notamment en Afrique, mettant en avant «la realpolitik plutôt que le sentiment». Marine Le Pen souligne si elle est élue qu’elle va s’appuyer «sur les pays francophones d’Afrique, injustement négligés depuis de trop longues années» pour «remplir un rôle moteur dans l’Union francophone» qu’elle envisage de mettre sur pied.
Soleil
Dans un dossier intitulé « action internationale » le candidat Emmanuel Macron énumère plus son bilan en Afrique, durant son quinquennat, sous le prisme français : «Les Français sont mieux protégés, peut-on lire. La France agit avec détermination contre les groupes terroristes au Sahel, en Méditerranée et au Levant. Elle a renforcé la coopération sécuritaire avec ses principaux partenaires européens et internationaux».
Emmanuel Macron propose «un agenda ambitieux entre l’Afrique et la France» où il est question de gouvernance et de coopération économique mais aussi de promotion du travail sur «les traumatismes liés à la colonisation» engendrés en Afrique.
Durant sa présidence, à la tête de la République française, Emmanuel Macron a enclenché le processus de restitution d’objets culturels africains dépouillés par la France, durant la période coloniale. Il a initié des séances d’échanges ouvertes, sur les questions de l’heure, et les perspectives des relations de la France en Afrique, en impliquant les jeunes générations et la société civile. Il a maintenu les troupes françaises au Sahel, pour empêcher l’avancée des militants djihadistes qui s’en prennent aux civils et soldats locaux. Il a publiquement reconnu au Rwanda les échecs de la France pendant le génocide de 1994.
Marine Le Pen : Mettre en avant «la realpolitik plutôt que le sentiment»
Dans son programme la candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen, qualifiée au deuxième tour évoquant l’un de ses sujets préférés l’immigration dit s’inquiéter de la pression notée démographique sur le continent africain qui, ajoutée aux problèmes de «mauvaise gouvernance», de «tensions» et de «changements climatiques» font de l’immigration l’un des «défis du XXIe siècle».
Marine Le Pen, si elle est élue, présidente de la République veut restaurer l’influence de la France dans des zones qu’elle dit «gangrénées par le terrorisme» (Libye, Corne de l’Afrique, Canal du Mozambique…). Elle propose également un «aggiornamento radical» de la philosophie des opérations extérieures de la France, notamment en Afrique, mettant en avant «la realpolitik plutôt que le sentiment». Marine Le Pen souligne si elle est élue qu’elle va s’appuyer «sur les pays francophones d’Afrique, injustement négligés depuis de trop longues années» pour «remplir un rôle moteur dans l’Union francophone» qu’elle envisage de mettre sur pied.
Soleil