
Après un bref passage dans le cabinet du Dr Lamine Bâ, ministre de l’Environnement à l’époque, Mme Ndèye Khady Diop sera nommée ministre délégué chargé de la Petite enfance. Ses recettes n’ayant pas fait miracles, elle sera ravalée au rang de Directrice de l’Agence de la Case des Tout-petits. Sa traversée du désert coïncidant avec l’activisme du mouvement prétentieusement dénommé « Génération du concret », comme bien d’autres libéraux et néo-wadistes, elle optera de se reconvertir en chanteuse et admiratrice du fils du président de la République.
Ainsi grâce à Karim, Madame est devenue ministre d’État, ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin et de la Micro Finance. Et peut-être bien demain autre chose, que Karim demandera à son fils de lui rajouter. Pourtant, elle peine à se trouver une base, pour avoir milité, tour à tour à Saint-Louis, les Parcelles assainies et, présentement, Kaolack. Elle a fait le tour du Sénégal, en somme, à la recherche d’une impossible base politique. Mais, elle est parvenue, parce qu’ayant tourné le dos aux populations et leurs préoccupations, pour s’agenouiller devant celui qui spolie le Sénégal : Karim Wade. Toute honte bue, elle clame que « nous devons soutenir » le fils du président de la République. Celui-là même qui affrète des jets privés, pendant que ses concitoyens n’ont plus les trois repas quotidiens et que Dakar baigne dans le noir et la banlieue dans les eaux.
Mme Ndèye Khady Diop, ministre la moins charismatique de toutes les femmes qui ont piloté le département qu’elle dirige actuellement, prend faits et cause pour celui qui a surfacturé en milliards les chantiers que lui avait confiés son père dans le cadre de la tenue du sommet de l’Organisation de la conférence islamique, tenu à Dakar en mars 2008. Elle applaudit des deux mains le ministre le plus absentéiste du gouvernement, dont il est, de fait, l’homme fort. Mme Ndèye Khady Diop travaille pour que « le moment venu », Karim, qui écrase les honnêtes entrepreneurs sénégalais, en les écartant de tous les marchés publics, « soit élu démocratiquement ». Elle rêve de voir celui qui n’a d’amour que pour l’argent du contribuable sénégalais, qu’il dilapide à tout bout de champ, succèder à son père Wade. Que Dieu fasse que ses prières ne soit pas exhaussées. Car, Karim est celui qui fait régresser le Sénégal, dont il ternit, avec son père, l’image de marque : la corruption est leur premier réflexe, les prélèvements de commissions leurs habitudes.
Mais, puisque « ceux qui se ressemblent s’assemblent », on peut parier qu’il se passe des choses pas du tout catholiques dans le grand ministère que dirige Mme Ndèye Khady Diop. Elle risque bien de faire partie des libéraux qui « iront en prison », si Wade perd la prochaine élection présidentielle. Il est sûr qu’elle passe le plus clair de son temps à ergoter sur la « magnanimité » des Wade qu’à travailler sur les nombreux dossiers du ministère qui dépasse ses compétences. Qui d’ailleurs des ministres de Wade pense à servir sa patrie ? Le Sénégal est juste leur vache laitière. Ce qui ne peut plus durer.
La Redaction
Ainsi grâce à Karim, Madame est devenue ministre d’État, ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin et de la Micro Finance. Et peut-être bien demain autre chose, que Karim demandera à son fils de lui rajouter. Pourtant, elle peine à se trouver une base, pour avoir milité, tour à tour à Saint-Louis, les Parcelles assainies et, présentement, Kaolack. Elle a fait le tour du Sénégal, en somme, à la recherche d’une impossible base politique. Mais, elle est parvenue, parce qu’ayant tourné le dos aux populations et leurs préoccupations, pour s’agenouiller devant celui qui spolie le Sénégal : Karim Wade. Toute honte bue, elle clame que « nous devons soutenir » le fils du président de la République. Celui-là même qui affrète des jets privés, pendant que ses concitoyens n’ont plus les trois repas quotidiens et que Dakar baigne dans le noir et la banlieue dans les eaux.
Mme Ndèye Khady Diop, ministre la moins charismatique de toutes les femmes qui ont piloté le département qu’elle dirige actuellement, prend faits et cause pour celui qui a surfacturé en milliards les chantiers que lui avait confiés son père dans le cadre de la tenue du sommet de l’Organisation de la conférence islamique, tenu à Dakar en mars 2008. Elle applaudit des deux mains le ministre le plus absentéiste du gouvernement, dont il est, de fait, l’homme fort. Mme Ndèye Khady Diop travaille pour que « le moment venu », Karim, qui écrase les honnêtes entrepreneurs sénégalais, en les écartant de tous les marchés publics, « soit élu démocratiquement ». Elle rêve de voir celui qui n’a d’amour que pour l’argent du contribuable sénégalais, qu’il dilapide à tout bout de champ, succèder à son père Wade. Que Dieu fasse que ses prières ne soit pas exhaussées. Car, Karim est celui qui fait régresser le Sénégal, dont il ternit, avec son père, l’image de marque : la corruption est leur premier réflexe, les prélèvements de commissions leurs habitudes.
Mais, puisque « ceux qui se ressemblent s’assemblent », on peut parier qu’il se passe des choses pas du tout catholiques dans le grand ministère que dirige Mme Ndèye Khady Diop. Elle risque bien de faire partie des libéraux qui « iront en prison », si Wade perd la prochaine élection présidentielle. Il est sûr qu’elle passe le plus clair de son temps à ergoter sur la « magnanimité » des Wade qu’à travailler sur les nombreux dossiers du ministère qui dépasse ses compétences. Qui d’ailleurs des ministres de Wade pense à servir sa patrie ? Le Sénégal est juste leur vache laitière. Ce qui ne peut plus durer.
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