
La sortie de M. Pierre Goudiaby Atépa dans la presse pour dire qu’il s’élève contre la construction du nouveau bâtiment du complexe Terrou-Bi, n’est pas du goût des travailleurs de cet établissement et du secrétaire général du Snthrcbs, M. El Hadji Ndiaye. Pour ce dernier, tout patriote doit penser d’abord à la sécurisation de l’emploi au Sénégal. Or, indique-t-il, le complexe Terrou Bi emploie plus de 500 personnes salariées qui bénéficient de nombreux avantages.
Et M. Ndiaye de dire : « En tout cas, j’avertis M. Atépa et lui dis que les travailleurs, à travers ma voix, sont debout pour lutter pour la sauvegarde de leur outil de travail ». Il poursuit et demande au chef de l’État, de tout faire pour protéger le complexe Terrou-Bi.
Le secrétaire général du Snthrcbs, M. El Hadji Ndiaye balaie du revers de la main, les arguments soulevés par M. Pierre Goudiaby Atépa qui dit qu’il est contre la construction du nouveau bâtiment de Terrou-Bi. Selon El Hadji Ndiaye : « Dans tous les pays du monde, les plus grands hôtels et restaurants sont implantés dans des endroits, où il y a la mer. Et le Sénégal ne peut pas échapper à ce phénomène. D’ailleurs plusieurs complexes hôteliers au Sénégal sont implantés à côté de la mer. C’est pourquoi, nous demandons au Premier ministre, au ministre du Tourisme qui est notre ministre de tutelle, Mme Aminata Lô Dieng de faire tout auprès du chef de l’État pour défendre notre outil de travail ».
El Hadji Ndiaye soutient que ceux qui investissent et créent des emplois au Sénégal doivent être protégés. Pour lui, « des hommes comme le propriétaire de Terrou-Bi, M. Rahal doivent être décorés par le chef de l’État. Si tous les membres du patronat du Sénégal font comme M. Rahal, le chômage des jeunes va être réduit à 70% ». Il soutient que les travailleurs de ce complexe bénéficient de nombreux avantages. La masse salariale annuelle au Terrou-Bi est de un milliard de Fcfa, et c’est ce même montant annuel qui est versé à l’État pour les taxes diverses. Les populations riveraines sont prioritaires en matière d’embauche au Terrou-Bi, justifie le secrétaire général du Snthrcbs.
Dans sa sortie relayée par la presse, M. Pierre Goudiaby Atépa soutenait que les responsables de Terrou-Bi avaient abusé de la confiance du Chef de l’État M. Pierre Goudiaby Atépa rappelait qu’au cours d’une de ses visites, il y trois ans de cela, le chef de l’État avait promis aux jeunes que leur plage allait être protégée.
C’est pourquoi, déclarait-il au quotidien L’Office, qu’il avait rarement vu le chef de l’État aussi fâché que ça, lorsqu’il était retourné sur les lieux et avait constaté que les constructions se poursuivaient au Terrou-Bi. Pour M. Goudiaby, cette construction signifie « qu’il n’y a plus de plages. Alors, ça, je trouve que c’est un scandale sur le plan urbain, sur le plan urbanistique, sur le plan moral, et sur tous les plans, c’est scandaleux. J’ai dit d’ailleurs à M. Ralph que si les populations râlent, c’est qu’elles en ont ras-le-bol de cette privatisation des plages au Sénégal ».
Source Nettali
Et M. Ndiaye de dire : « En tout cas, j’avertis M. Atépa et lui dis que les travailleurs, à travers ma voix, sont debout pour lutter pour la sauvegarde de leur outil de travail ». Il poursuit et demande au chef de l’État, de tout faire pour protéger le complexe Terrou-Bi.
Le secrétaire général du Snthrcbs, M. El Hadji Ndiaye balaie du revers de la main, les arguments soulevés par M. Pierre Goudiaby Atépa qui dit qu’il est contre la construction du nouveau bâtiment de Terrou-Bi. Selon El Hadji Ndiaye : « Dans tous les pays du monde, les plus grands hôtels et restaurants sont implantés dans des endroits, où il y a la mer. Et le Sénégal ne peut pas échapper à ce phénomène. D’ailleurs plusieurs complexes hôteliers au Sénégal sont implantés à côté de la mer. C’est pourquoi, nous demandons au Premier ministre, au ministre du Tourisme qui est notre ministre de tutelle, Mme Aminata Lô Dieng de faire tout auprès du chef de l’État pour défendre notre outil de travail ».
El Hadji Ndiaye soutient que ceux qui investissent et créent des emplois au Sénégal doivent être protégés. Pour lui, « des hommes comme le propriétaire de Terrou-Bi, M. Rahal doivent être décorés par le chef de l’État. Si tous les membres du patronat du Sénégal font comme M. Rahal, le chômage des jeunes va être réduit à 70% ». Il soutient que les travailleurs de ce complexe bénéficient de nombreux avantages. La masse salariale annuelle au Terrou-Bi est de un milliard de Fcfa, et c’est ce même montant annuel qui est versé à l’État pour les taxes diverses. Les populations riveraines sont prioritaires en matière d’embauche au Terrou-Bi, justifie le secrétaire général du Snthrcbs.
Dans sa sortie relayée par la presse, M. Pierre Goudiaby Atépa soutenait que les responsables de Terrou-Bi avaient abusé de la confiance du Chef de l’État M. Pierre Goudiaby Atépa rappelait qu’au cours d’une de ses visites, il y trois ans de cela, le chef de l’État avait promis aux jeunes que leur plage allait être protégée.
C’est pourquoi, déclarait-il au quotidien L’Office, qu’il avait rarement vu le chef de l’État aussi fâché que ça, lorsqu’il était retourné sur les lieux et avait constaté que les constructions se poursuivaient au Terrou-Bi. Pour M. Goudiaby, cette construction signifie « qu’il n’y a plus de plages. Alors, ça, je trouve que c’est un scandale sur le plan urbain, sur le plan urbanistique, sur le plan moral, et sur tous les plans, c’est scandaleux. J’ai dit d’ailleurs à M. Ralph que si les populations râlent, c’est qu’elles en ont ras-le-bol de cette privatisation des plages au Sénégal ».
Source Nettali