
Avant de parvenir au pouvoir, le président Wade a été l’objet d’une plainte devant le tribunal pénal de Dakar, pour une dette contractée auprès d’un Français, non remboursée à terme. Elle tournait autour de 100 millions de nos francs. Un an avant d’être président du Sénégal, il devait 12 millions à la Société générale de banques au Sénégal (Sgbs).
Élu président, il a fait asseoir le Sénégal sur le banc de la risée publique pour avoir tardé à honorer une dette de 12 milliards, représentant le reliquat qu’il devait à une société immobilière : celle qui lui a vendu un petit périmètre qui servira de Maison du Sénégal aux Etats-Unis d’Amérique. N’eut été l’intervention de son ministre de l’Energie, Samuel Sarr, le Sénégal serait face à la barre au pays d’Obama. Mais celui-ci a dû puiser dans les fonds pétroliers, pour éponger l’ardoise. C’est dire du coup, que c’est la boulimie de Wade qui vaut à Samuel Sarr son poste de ministre, parce que mal aimé. C’est la même raison qui explique la recrudescence des délestages de la Senelec, qui replonge le Sénégal à l’époque des chaumières.
La Redaction
Élu président, il a fait asseoir le Sénégal sur le banc de la risée publique pour avoir tardé à honorer une dette de 12 milliards, représentant le reliquat qu’il devait à une société immobilière : celle qui lui a vendu un petit périmètre qui servira de Maison du Sénégal aux Etats-Unis d’Amérique. N’eut été l’intervention de son ministre de l’Energie, Samuel Sarr, le Sénégal serait face à la barre au pays d’Obama. Mais celui-ci a dû puiser dans les fonds pétroliers, pour éponger l’ardoise. C’est dire du coup, que c’est la boulimie de Wade qui vaut à Samuel Sarr son poste de ministre, parce que mal aimé. C’est la même raison qui explique la recrudescence des délestages de la Senelec, qui replonge le Sénégal à l’époque des chaumières.
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