
Car, pour l’honorable député et par ailleurs leader du Rds, le président Wade cherche à distraire les Sénégalais, en projetant de nommer des « ministres-résidents » à la place des gouverneurs et de supprimer les conseils régionaux au profit d’assemblées régionales, qu’avaient testées les socialistes. C’est une diversion de plus. Car, le président Wade est attendu dans le terrain des réalisations et de la demande sociale. Mais depuis la décennie, qu’il a passée au pouvoir, les prix des denrées de première nécessité ont flambé, il a troué le panier de la ménagère et poussé au fond des océans les jeunes, auxquels il avait promis des emplois, toujours invisibles.
Me Abdoulaye Wade divertit son monde, pour faire oublier la dette intérieure, qui a poussé à la faillite l’essentiel du secteur privé. Il s’acharne contre tous les entrepreneurs sénégalais, qui ont réussi avant l’alternance. Me Wade, qui se cachait sous le manteau de la démocratie, a rompu le dialogue politique et agressé les libertés. Son jeu favori demeure le tripatouillage de la Constitution et les menaces contre les Sénégalais. Il divertit, pour que nul ne se souvienne qu’il a mis à genoux l’économie du pays dont son enfant se joue. Les faits sont nombreux. Il fait tabasser ses concitoyens, afin d’imposer aux Sénégalais son fils Karim.
Pendant que son peuple manque de tout, il gaspille des milliards pour contempler ses statues. Il rappelle Haïlé Sélassié qui déversait des tonnes de viandes quotidiennement dans les cages de ses lions, pendant que la famine ravageait l’Éthiopie, qu’il vidait.
Le président Wade, incapable de hauts faits pour son pays, n’a que des mots pour le dorloter. Il sillonne le monde avec l’argent du Sénégal, qu’il ne fait qu’humilier. La presse occidentale, qui a étalé sa mégalomanie, n’a pas tort de dire que le président en exercice le plus vieux du monde est devenu « fou ». Demain, la cloche de la vérité des urnes retentira, s’il tient sur ses jambes d’ici 2012.
Me Abdoulaye Wade divertit son monde, pour faire oublier la dette intérieure, qui a poussé à la faillite l’essentiel du secteur privé. Il s’acharne contre tous les entrepreneurs sénégalais, qui ont réussi avant l’alternance. Me Wade, qui se cachait sous le manteau de la démocratie, a rompu le dialogue politique et agressé les libertés. Son jeu favori demeure le tripatouillage de la Constitution et les menaces contre les Sénégalais. Il divertit, pour que nul ne se souvienne qu’il a mis à genoux l’économie du pays dont son enfant se joue. Les faits sont nombreux. Il fait tabasser ses concitoyens, afin d’imposer aux Sénégalais son fils Karim.
Pendant que son peuple manque de tout, il gaspille des milliards pour contempler ses statues. Il rappelle Haïlé Sélassié qui déversait des tonnes de viandes quotidiennement dans les cages de ses lions, pendant que la famine ravageait l’Éthiopie, qu’il vidait.
Le président Wade, incapable de hauts faits pour son pays, n’a que des mots pour le dorloter. Il sillonne le monde avec l’argent du Sénégal, qu’il ne fait qu’humilier. La presse occidentale, qui a étalé sa mégalomanie, n’a pas tort de dire que le président en exercice le plus vieux du monde est devenu « fou ». Demain, la cloche de la vérité des urnes retentira, s’il tient sur ses jambes d’ici 2012.