
Le président Wade avait ses affidés qui assaillent toutes les émissions radiophoniques interactives pour le défendre. Sa task-force envahit la toile pour répondre aux internautes en désaccord avec la boulimie financière de son régime et ses restrictions démocratiques. Le libéral en chef a également ses plumitifs, qui se fendent de « contributions » pour tenter de le défendre vaille que vaille. Son ancien ministre conseiller chargé de l’ex-nouvelle capitale, limogé, est de la race de ses avocats du diable. Ameth Kahilfa Niass ne sent pas les odeurs fétides. Car, si au palais tous ceux qui gravitent autour du président portent des masques pour pouvoir respirer à cause du cadavre en décomposition qu’est « l’affaire Segura, ce n’est pas son cas. Il est vrai que les porcs ne grossissent que là où leurs museaux peuvent renifler les odeurs les plus nauséabondes. Les vautours vivant de cadavres, M. Niasse a trempé sa plume dans la puanteur qui donne des nausées aux Sénégalaises, Sénégalais et « étrangers vivant parmi nous », pour parler comme son ex-ami Diouf ou son ex-« ennemi » Senghor. Il a cherché à les mouiller pour laver à grande eau Wade, son ex et futur nouveau ami. L’éclatement de la tentative de corruption sur Alex Segura, que seul Wade a tenté de justifier sans convaincre, Khalifa s’est permis de l’amplifier. C’était pour tenter de se faire remarquer par Wade, qui ferme les narines, pour ne pas le sentir, les yeux, pour ne pas le voir, et les oreilles, pour ne pas l’entendre. En privé le président déclare qu’il a attrapé une allergie incurable de Ameth Niasse. Probablement que Wade sous calmant le rappellera pour le récompenser. Khalifa est le seul a être descendu aussi bas, devant tous ses compatriotes. Après avoir ôté son habit de Sénégalais, il enlèvera son manteau de « chef religieux ». Car, pour le « marabout » Khalifa, il n’y a aucun mal d’être un musulman, de surcroît président de la République, pour s’employer à corrompre des nantis, pendant que les populations croupissent dans la misère, et pour ériger des statues d’une valeur de cent milliards. Certainement que l’érudit Ameth a inventé son coran dans lequel une sourate permet et encourage le népotisme, la corruption, les vols, le mensonge et la non-assistance à une population en danger de mort.
Ahmeth Khalifa Niasse, quel individu lugubre. On se rappelle que bien avant de guérir de l’allergie qu’il avait pour Wade, il avait testé son talent d’arnaqueur dans la ville de Kaolack, qui l’a vu naître, et dont sa famille est l’une des plus respectées. Il avait commencé par un show dans lequel il jouait le rôle du farouche opposant au régime de Senghor. Il brûlera même le drapeau du Sénégal. Son frère Sidy Lamine Niasse ira croupir en prison à sa place. Le « tigre en papier » avait pris la clef des champs. Il reprendra ensuite ses jambes au cou, pour avoir arnaqué de pauvres paysans musulmans : usant de son statut de fils d’un guide religieux, il avait encaissé leur argent sous le prétexte de les amener en pèlerinage aux lieux saints de l’Islam. Les pauvres ne verront jamais l’aéroport de Dakar, à plus forte raison que La Mecque. Sa naissance le sauvera. Mais, le Saint homme Elhadj Ibrahima Niasse, connu sous le nom de Baye Niasse, rédigera une lettre qu’il enverra à toutes les autorités, religieuses et temporelles, pour dire que Ameth Khalifa Niasse n’est pas son fils, contrairement à ce qu’il déclarait, et qu’il ne répond d’aucun de ses gestes et faits. Les archives sont toujours là. Ainsi, ses actes l’éloigneront de sa ville natale, pendant des années. Muni des fonds des paysans du Saloum, Khalifa prendra les airs pour aller vendre du vent au président libyen, Kadhafi, arrivé au pouvoir par un putsch. Il se fera des sous. Mais, ce n’était pas assez pour le jouisseur qu’il est : il a avoué à 2Stv qu’il est un adepte du « « niam mouthie » ! Comprenez par là, prendre épouse pour quelques heures ou jours, et la répudier après satisfaction. « Ennemi » de Senghor, il fera chanter le successeur de celui-ci, Abdou Diouf, qui finira par le dompter avec des billets de banque. N’ayant d’amour que pour les espèces trébuchantes et sonnantes, Khalifa jouera sa partition pour plaire à son nouvel employeur socialiste : il lui servira de nervis pour dénigrer et diaboliser l’opposant Wade. Ironie de l’histoire ! Le mercenaire, qu’il est, clame aujourd’hui que si la fille du « pape du sopi », Sindiely, était un garçon, elle porterait son nom ! C’est maintenant qu’il fait cette révélation, parce qu’ayant réussi à flouer Abdoulaye Wade, jusqu’à être son ministre conseiller. Mais, Wade finira par le découvrir et le renvoyer. C’était suite à sa « mission » en Guinée, juste après la prise du pouvoir par la junte militaire, qui a porté à la tête de ce pays le barbare et criminel Dadis Camara. Parti en avion, Khalifa reviendra avec l’appareil de l’armée sénégalaise, chargé de mallettes d’argent. Elles lui avaient été remises par l’assassin Dadis. Il les avait trouvées et soutirées dans les appartements de feu le président Lansana Konté. Il avait sollicité le président Wade, pour conseil parce que ne sachant quoi en faire. Cependant, avant de les apporter à celui-ci, Khalifa prendra sa « part du butin ». C’est ce qui lui vaut sa défenestration depuis. Les faits sont là ! Il tentera de les nier par des communiqués de presse, en précisant que s’ils étaient avérés, l’équipage et les journalistes, qui étaient avec lui, devaient être au courant. Ce qui est patent c’est qu’à l’atterrissage à Conakry, il n’y avait que des êtres humains à bord. Au décollage entre l’équipage et les journalistes il y avait deux grosses valises, embarquées au départ de la capitale guinéenne. Nous étions du voyage. Les autres confrères ne diront pas le contraire. La question que tous se posaient était de savoir ce que contenaient les deux « nouveaux voyageurs ». C’était aux premières heures du coup d’État de Dadis. Khalifa qui est le
premier à se poser en Guinée, après le putsch, a-t-il d’ailleurs remis un seul centime à Wade le destinataire des valises. L’avenir nous édifiera, car les investigations se poursuivent. Donc, Serigne-bi, à la prochaine !
La redaction
Ahmeth Khalifa Niasse, quel individu lugubre. On se rappelle que bien avant de guérir de l’allergie qu’il avait pour Wade, il avait testé son talent d’arnaqueur dans la ville de Kaolack, qui l’a vu naître, et dont sa famille est l’une des plus respectées. Il avait commencé par un show dans lequel il jouait le rôle du farouche opposant au régime de Senghor. Il brûlera même le drapeau du Sénégal. Son frère Sidy Lamine Niasse ira croupir en prison à sa place. Le « tigre en papier » avait pris la clef des champs. Il reprendra ensuite ses jambes au cou, pour avoir arnaqué de pauvres paysans musulmans : usant de son statut de fils d’un guide religieux, il avait encaissé leur argent sous le prétexte de les amener en pèlerinage aux lieux saints de l’Islam. Les pauvres ne verront jamais l’aéroport de Dakar, à plus forte raison que La Mecque. Sa naissance le sauvera. Mais, le Saint homme Elhadj Ibrahima Niasse, connu sous le nom de Baye Niasse, rédigera une lettre qu’il enverra à toutes les autorités, religieuses et temporelles, pour dire que Ameth Khalifa Niasse n’est pas son fils, contrairement à ce qu’il déclarait, et qu’il ne répond d’aucun de ses gestes et faits. Les archives sont toujours là. Ainsi, ses actes l’éloigneront de sa ville natale, pendant des années. Muni des fonds des paysans du Saloum, Khalifa prendra les airs pour aller vendre du vent au président libyen, Kadhafi, arrivé au pouvoir par un putsch. Il se fera des sous. Mais, ce n’était pas assez pour le jouisseur qu’il est : il a avoué à 2Stv qu’il est un adepte du « « niam mouthie » ! Comprenez par là, prendre épouse pour quelques heures ou jours, et la répudier après satisfaction. « Ennemi » de Senghor, il fera chanter le successeur de celui-ci, Abdou Diouf, qui finira par le dompter avec des billets de banque. N’ayant d’amour que pour les espèces trébuchantes et sonnantes, Khalifa jouera sa partition pour plaire à son nouvel employeur socialiste : il lui servira de nervis pour dénigrer et diaboliser l’opposant Wade. Ironie de l’histoire ! Le mercenaire, qu’il est, clame aujourd’hui que si la fille du « pape du sopi », Sindiely, était un garçon, elle porterait son nom ! C’est maintenant qu’il fait cette révélation, parce qu’ayant réussi à flouer Abdoulaye Wade, jusqu’à être son ministre conseiller. Mais, Wade finira par le découvrir et le renvoyer. C’était suite à sa « mission » en Guinée, juste après la prise du pouvoir par la junte militaire, qui a porté à la tête de ce pays le barbare et criminel Dadis Camara. Parti en avion, Khalifa reviendra avec l’appareil de l’armée sénégalaise, chargé de mallettes d’argent. Elles lui avaient été remises par l’assassin Dadis. Il les avait trouvées et soutirées dans les appartements de feu le président Lansana Konté. Il avait sollicité le président Wade, pour conseil parce que ne sachant quoi en faire. Cependant, avant de les apporter à celui-ci, Khalifa prendra sa « part du butin ». C’est ce qui lui vaut sa défenestration depuis. Les faits sont là ! Il tentera de les nier par des communiqués de presse, en précisant que s’ils étaient avérés, l’équipage et les journalistes, qui étaient avec lui, devaient être au courant. Ce qui est patent c’est qu’à l’atterrissage à Conakry, il n’y avait que des êtres humains à bord. Au décollage entre l’équipage et les journalistes il y avait deux grosses valises, embarquées au départ de la capitale guinéenne. Nous étions du voyage. Les autres confrères ne diront pas le contraire. La question que tous se posaient était de savoir ce que contenaient les deux « nouveaux voyageurs ». C’était aux premières heures du coup d’État de Dadis. Khalifa qui est le
premier à se poser en Guinée, après le putsch, a-t-il d’ailleurs remis un seul centime à Wade le destinataire des valises. L’avenir nous édifiera, car les investigations se poursuivent. Donc, Serigne-bi, à la prochaine !
La redaction