
Pour plaire à Wade, reprendre du service et, en conséquence, se remplir les poches trois habiles proches de Wade ont travaillé, individuellement, à l’induire en erreur : Idrissa Seck, Me Mbaye Jacques Diop et le Colonel Malick Cissé. Tous les trois ont assuré le président de la République, et par ailleurs secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais, que son ancien disciple et proche collaborateur était prêt à revenir à ses côtés. Seulement, il a posé trois conditions. La première est que Me Wade face une déclaration « publique » pour faire appel à lui. Me Wade est tombé dans le coup, en jouant cette partition, qui l’a ridiculisé le 4 novembre dernier à Thiès.
La deuxième était qu’après l’avoir réintégré dans l’État et le Pds, il s’engage par écrit à nommer à des postes clefs ses proches, comme les députés Mbaye Ndiaye et Moustapha Cissé Lô, exclus de l’Hémicycle par le groupe parlementaire libéral, l’ancien secrétaire général du gouvernement sous Macky Sall, Me Alioune Badara Cissé, Diène Farba Sarr, etc. Wade pour attester de sa bonne foi a prononcé à Thiès les noms de Mbaye Ndiaye et de Me Cissé. Il risque de ne voir que du vent.
La troisième condition prêtée à Macky Sall est que Me Wade lui laisse les coudées franches, pour aller au même titre que Karim Wade et Idrissa Seck à la conquête du Pds et du Sénégal, quand il se retirera du pouvoir.
Trois conditions crées de toutes pièces par un trio intéressé. Car, Macky Sall sait qu’en retournant vers Wade, il joue sa crédibilité et sa carrière politique. Parce que, Wade ne le laissera jamais s’affronter à égale arme contre son fils Karim. Il n’accordera pas non plus cette faveur à Idrissa Seck. Les dés sont pipés : trois personnes ne se bagarrent pas. Deux personnes ont toutes les chances de battre un unique adversaire. C’est l’adage wolof qui le rappelle. Autrement, Wade n’exposera pas son fils biologique. Il l’armera et désarmera ses adversaires. Juge du combat, il prendra faits et cause pour Karim.
La Redaction
La deuxième était qu’après l’avoir réintégré dans l’État et le Pds, il s’engage par écrit à nommer à des postes clefs ses proches, comme les députés Mbaye Ndiaye et Moustapha Cissé Lô, exclus de l’Hémicycle par le groupe parlementaire libéral, l’ancien secrétaire général du gouvernement sous Macky Sall, Me Alioune Badara Cissé, Diène Farba Sarr, etc. Wade pour attester de sa bonne foi a prononcé à Thiès les noms de Mbaye Ndiaye et de Me Cissé. Il risque de ne voir que du vent.
La troisième condition prêtée à Macky Sall est que Me Wade lui laisse les coudées franches, pour aller au même titre que Karim Wade et Idrissa Seck à la conquête du Pds et du Sénégal, quand il se retirera du pouvoir.
Trois conditions crées de toutes pièces par un trio intéressé. Car, Macky Sall sait qu’en retournant vers Wade, il joue sa crédibilité et sa carrière politique. Parce que, Wade ne le laissera jamais s’affronter à égale arme contre son fils Karim. Il n’accordera pas non plus cette faveur à Idrissa Seck. Les dés sont pipés : trois personnes ne se bagarrent pas. Deux personnes ont toutes les chances de battre un unique adversaire. C’est l’adage wolof qui le rappelle. Autrement, Wade n’exposera pas son fils biologique. Il l’armera et désarmera ses adversaires. Juge du combat, il prendra faits et cause pour Karim.
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