
Me Mame Adama Guèye ne pardonne pas à Me Abdoulaye Wade de l’avoir promis un « bon poste », resté sans suite. Ainsi a-t-il voulu coller à l’actualité en dénonçant la corruption qui gangrène la Justice Sénégalaise. Me Adama Guèye ne s’était présenté à la dernière élection présidentielle de 2007 que dans l’optique de corser son curriculum vitae. Il ne s’est bagarré, avec bec et ongles, pour devenir le bâtonnier de l’Ordre des avocats que dans le but de mieux berner ses victimes. Mais, l’histoire est incorrigible : il a pris fait et cause en manigançant pour le compte d’entrepreneurs étrangers, au détriment de bon nombre de ses braves compatriotes pour seulement se remplir les poches. Ses faits d’armes sont connus de tout le barreau.
Mag, son diminutif, est loin d’être un exemple en matière de lutte contre la corruption et la concussion. Ce que le président Wade, connaît autant que bon nombre de ses compatriotes, voire d’étrangers tombés sous ses pièges. Il a été à l’origine de la création d’une organisation non gouvernementale, dénommée Transparency international. C’était en fait pour masquer certains deals et ferrer l’opinion internationale. Mais, au sortir des urnes à l’élection présidentielle de 2007, il n’obtiendra même pas 0,1 % de l’électorat sénégalais. Car, ayant « les mains sales jusqu’aux coudes », pour les avoir toujours plongées dans de sombres affaires.
Pour se rappeler au bon souvenir du président Wade, qui lui avait promis une « situation », il n’a pas hésité à faire hors sujet, pour dénigrer la corruption dans la magistrature. C’était pour profiter de la tribune qui lui était offerte, pour se refaire une virginité politique. Mame Adama Guèye épuise sa famille et ses proches, qui à longueur de semaine cherchent à colmater ses lubies. Avocat, il hébergeait Pierre Aim, en raison de 25 millions par an. L’argent est son credo et les coups bas sa passion. Mais, le président Wade lui a décoché un uppercut duquel il se relèvera difficilement. L’arroseur a été arrosé.
La Redaction
Mag, son diminutif, est loin d’être un exemple en matière de lutte contre la corruption et la concussion. Ce que le président Wade, connaît autant que bon nombre de ses compatriotes, voire d’étrangers tombés sous ses pièges. Il a été à l’origine de la création d’une organisation non gouvernementale, dénommée Transparency international. C’était en fait pour masquer certains deals et ferrer l’opinion internationale. Mais, au sortir des urnes à l’élection présidentielle de 2007, il n’obtiendra même pas 0,1 % de l’électorat sénégalais. Car, ayant « les mains sales jusqu’aux coudes », pour les avoir toujours plongées dans de sombres affaires.
Pour se rappeler au bon souvenir du président Wade, qui lui avait promis une « situation », il n’a pas hésité à faire hors sujet, pour dénigrer la corruption dans la magistrature. C’était pour profiter de la tribune qui lui était offerte, pour se refaire une virginité politique. Mame Adama Guèye épuise sa famille et ses proches, qui à longueur de semaine cherchent à colmater ses lubies. Avocat, il hébergeait Pierre Aim, en raison de 25 millions par an. L’argent est son credo et les coups bas sa passion. Mais, le président Wade lui a décoché un uppercut duquel il se relèvera difficilement. L’arroseur a été arrosé.
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