
M. Faye a fait cette révélation lors d'une journée de communication à Saint-Louis sur les objectifs de cette institution, en présence des maires, autorités administratives et chefs de services régionaux de Matam, Louga et Saint-Louis. Il répondait à la question d'un participant sur la possibilité pour cette institution judiciaire de se pencher sur le cas de cette entreprise, qui a englouti des milliards en investissement mais qui plonge les populations dans des délestages interminables. «Les membres de cette Cour sont des citoyens et vivent dans la société dont ils n'ignorent pas les préoccupalions», a dit le magistrat rappelant que par sa vocation elle ne fait pas beaucoup de bruit sur les dossiers en instance.
Il a promis dans quelques semaines la publication des résultats de ce travail à l'intention des populations pour qui travaille cette institution. Celle-ci ne se penche que sur des gestions passées d'au moins cinq mois. «Cependant, elle ne se lève pas un beau jour pour faire irruption dans un service ou n'agit sur injonction d'un quelconque pouvoir», a dit le magistrat signalant que les intéressés sont avertis des semaines à l'avance.
Son collègue, Omar Ndiaye a affirmé que la Cour des comptes a une nouvelle orientation, qui la poussera à s'orienter davantage vers les problèmes de gestion, car elle travaille pour l'intérêt des populations.
Ils ont aussi signalé les contraintes de la cour confrontée à un problème d'attractivité par rapport aux autre juridictions et à un déficit de personnel avec seulement 30 magistrats. Ceux-ci sont souvent sollicités par le ministres pour en faire des directeurs de cabinet.
Il ressort de l'exposé des deux magistrats que l'institution superieure de contrôle des finances publiques jouit d'une liberté totale dans le choix des dossiers sur lesquels elle se penche. Le maire de Louga, Aminata Mbengue Ndiaye, a salué cette initiative qui, selon elle, permet de mieux connaître l'institution pour une applicatio rigoureuse des pratiques de bonne gouvernance qui doivent être partout de rigueur. «Chacun doit être formé pour servir convenablement les populations», a dit la responsable socialiste qui insiste sur l'obligation pour les autorités de rendre compte leur gestion publique. Elle a salué à ce propos l'existence de plusieurs programmes développés par les partenaires pour permettre aux élus de disposer des compétences nécessaires pour leur mission. Cette rencontre organisée par le Projet d'appui au programme de Bonne Gouvernance à pour objectif de rapprocher l'institution des citoyens et de mieux la faire connaître.
Source Walf Grand Place
Il a promis dans quelques semaines la publication des résultats de ce travail à l'intention des populations pour qui travaille cette institution. Celle-ci ne se penche que sur des gestions passées d'au moins cinq mois. «Cependant, elle ne se lève pas un beau jour pour faire irruption dans un service ou n'agit sur injonction d'un quelconque pouvoir», a dit le magistrat signalant que les intéressés sont avertis des semaines à l'avance.
Son collègue, Omar Ndiaye a affirmé que la Cour des comptes a une nouvelle orientation, qui la poussera à s'orienter davantage vers les problèmes de gestion, car elle travaille pour l'intérêt des populations.
Ils ont aussi signalé les contraintes de la cour confrontée à un problème d'attractivité par rapport aux autre juridictions et à un déficit de personnel avec seulement 30 magistrats. Ceux-ci sont souvent sollicités par le ministres pour en faire des directeurs de cabinet.
Il ressort de l'exposé des deux magistrats que l'institution superieure de contrôle des finances publiques jouit d'une liberté totale dans le choix des dossiers sur lesquels elle se penche. Le maire de Louga, Aminata Mbengue Ndiaye, a salué cette initiative qui, selon elle, permet de mieux connaître l'institution pour une applicatio rigoureuse des pratiques de bonne gouvernance qui doivent être partout de rigueur. «Chacun doit être formé pour servir convenablement les populations», a dit la responsable socialiste qui insiste sur l'obligation pour les autorités de rendre compte leur gestion publique. Elle a salué à ce propos l'existence de plusieurs programmes développés par les partenaires pour permettre aux élus de disposer des compétences nécessaires pour leur mission. Cette rencontre organisée par le Projet d'appui au programme de Bonne Gouvernance à pour objectif de rapprocher l'institution des citoyens et de mieux la faire connaître.
Source Walf Grand Place