
«Nous avons déjà tenu plusieurs réunions pour poser les jalons devant nous mener vers une Assemblée générale de renouvellement de nos instances en mars prochain. Et c'est parce que nous estimons que les supporters ont un rôle important, je dirais même déterminant à jouer dans le processus de relance du sport sénégalais, celui de la reconstruction de notre football plus particulièrement, que nous entendons nous mettre en ordre de bataille pour accompagner tous les actes qui sont ou seront posés», renseigne Issa Diop.
Le coordonnateur du Comité de pilotage qui s'expliquait au sortir d'une réunion de la structure, d'apprécier les actes posés jusqu'ici, notamment pour ce qui est du football. Et c'est pour soutenir que «le processus n'ira à bout et connaîtra de succès que si les autorités, qui ont participé à son enclenchement par la Fédération, vont au bout de la logique. C'est-à-dire si l'Etat met tous les moyens nécessaires et qu'on laisse les entraîneurs travailler, sans interférence aucune. Parce que ce qui a été fait est une première. Aujourd'hui, on prend en compte toutes les sélections et c'est cela la clé du succès. Maintenant, nous estimons qu'il faut élargir ce qui a été fait au football à toutes les autres disciplines pour respecter l'équité».
H. DEME
Source Le Populaire
Le coordonnateur du Comité de pilotage qui s'expliquait au sortir d'une réunion de la structure, d'apprécier les actes posés jusqu'ici, notamment pour ce qui est du football. Et c'est pour soutenir que «le processus n'ira à bout et connaîtra de succès que si les autorités, qui ont participé à son enclenchement par la Fédération, vont au bout de la logique. C'est-à-dire si l'Etat met tous les moyens nécessaires et qu'on laisse les entraîneurs travailler, sans interférence aucune. Parce que ce qui a été fait est une première. Aujourd'hui, on prend en compte toutes les sélections et c'est cela la clé du succès. Maintenant, nous estimons qu'il faut élargir ce qui a été fait au football à toutes les autres disciplines pour respecter l'équité».
H. DEME
Source Le Populaire