
Par correspondance en date du mercredi 23 septembre 2009, l’Union nationale des consommateurs du Sénégal a mandaté l’avocat, Me Sady Ndiaye, pour porter plainte contre le Bsda au nom des consommateurs. Une décision motivée par « l’arrêt de la diffusion des émissions du groupe Walfadji en direction des citoyens sénégalais locaux et de la diaspora, conséquence directe des manœuvres du Bureau National de droit des auteurs du Sénégal (BSDA) ».
Considérant que « ces manœuvres ont eu pour conséquence la violation du Droit à l’information du peuple sénégalais et des personnes vivant dans notre pays » et que « le droit à l’information est inscrit dans la Déclaration Universelle des Droit de l’Homme, dans la Charte Africaine des Droits de l’Homme, et dans la Constitution de notre pays », l’union national des consommateurs du Sénégal a donné mandat à maître Sady Ndiaye, Avocat à la cour de Dakar, à initier une action en justice au profit des consommateurs du Sénégal contre le BSDA.
Une action qui n’ébranle point le Bsda qui, par la voix de sa directrice, soutient qu’elle ne se laissera pas distraire. Le Bureau Sénégalais des Droits d’auteurs (Bsda) reste ferme pour que la décision de justice qui a sommé le groupe "Wal fadjri" d’arrêter de diffuser des œuvres protégées soit appliquée. Selon les responsables du Bsda, s’ils sont allés jusqu’à ce stade, c’est que le groupe "Wal fadjri" n’a jamais fait montre d’une disponibilité à régler à l’amiable le contentieux portant sur le paiement des droits d’auteur.
« Depuis 2001, le Bsda n’a cessé d’envoyer des correspondances au Pdg du groupe Wal fadjri qui n’a jamais daigné répondre", explique Aziz Dieng. "Au Bsda, nous sommes d’avis que les bonnes volontés sont toujours à encourager, mais nous restons fermes : il faut que "Walf" nous paie notre argent", dixit Aziz Dieng.
Mieux d’autres sources proches du Bsda, soulignent que les "agitations" de l’organisation consumériste ressemblent à de l’activisme pour se donner de la visibilité d’autant plus que le leadersphip d’El-Hadji Niang est contesté
Source Sen24heures.com
Considérant que « ces manœuvres ont eu pour conséquence la violation du Droit à l’information du peuple sénégalais et des personnes vivant dans notre pays » et que « le droit à l’information est inscrit dans la Déclaration Universelle des Droit de l’Homme, dans la Charte Africaine des Droits de l’Homme, et dans la Constitution de notre pays », l’union national des consommateurs du Sénégal a donné mandat à maître Sady Ndiaye, Avocat à la cour de Dakar, à initier une action en justice au profit des consommateurs du Sénégal contre le BSDA.
Une action qui n’ébranle point le Bsda qui, par la voix de sa directrice, soutient qu’elle ne se laissera pas distraire. Le Bureau Sénégalais des Droits d’auteurs (Bsda) reste ferme pour que la décision de justice qui a sommé le groupe "Wal fadjri" d’arrêter de diffuser des œuvres protégées soit appliquée. Selon les responsables du Bsda, s’ils sont allés jusqu’à ce stade, c’est que le groupe "Wal fadjri" n’a jamais fait montre d’une disponibilité à régler à l’amiable le contentieux portant sur le paiement des droits d’auteur.
« Depuis 2001, le Bsda n’a cessé d’envoyer des correspondances au Pdg du groupe Wal fadjri qui n’a jamais daigné répondre", explique Aziz Dieng. "Au Bsda, nous sommes d’avis que les bonnes volontés sont toujours à encourager, mais nous restons fermes : il faut que "Walf" nous paie notre argent", dixit Aziz Dieng.
Mieux d’autres sources proches du Bsda, soulignent que les "agitations" de l’organisation consumériste ressemblent à de l’activisme pour se donner de la visibilité d’autant plus que le leadersphip d’El-Hadji Niang est contesté
Source Sen24heures.com