
Alioune Tine est monté au créneau ce matin au cours d’une conférence de presse sur « le référendum et les menaces de guerre civile au Niger" pour démentir les informations comme quoi il a été reçu quatre fois par le chef de l’Etat pour devenir le prochain ministre de l’intérieur. « C’est une fable politique qui ne me concerne pas et qui n’a pas d’intérêt. Je préfère ne pas en parler», a-t-il répondu aux journalistes.
Le symposium sur la gouvernance et les transitions politiques en Afrique de l’ouest a dénoncé l’entreprise de démolition des institutions démocratique de la république du Niger. Selon Alioune Tine, la principale cause des crises récurrentes en Niger est l’absence de consensus politique sur les questions nationales, le fonctionnement des institutions, l’absence de mécanisme de régulation des conflits. Ainsi le secrétaire général de la Raddho et ses camarades dénoncent l’emprise de démolition des institutions démocratique de la république du Niger. Ils exigent toutefois le rétablissement de l’ancienne Cour Constitutionnelle illégalement dissoute par le président Mamadou Tandjan. Les défenseurs des droits de l’Homme réclament par ailleurs l’intervention du président Mouammar Kadhafi pour empêcher la destruction de la constitution, mais également des sanctions contre le président du Niger au cas où il ne revenait pas à l’ordre constitutionnel normal. Les représentants des organisations de la Société civile de l’Afrique de l’Ouest se disent déterminer à s’opposer a toutes formes de manipulation constitutionnelle en vue de perpétuer le règne des régime clientélistes et prédateurs à la tête des Etats africains. Alioune Tine de conclure, « on reste déterminé face aux ambitions antidémocratiques du président Tandjan et de son gouvernement ».
Safi Amadou BA
Source Sununews.com
Le symposium sur la gouvernance et les transitions politiques en Afrique de l’ouest a dénoncé l’entreprise de démolition des institutions démocratique de la république du Niger. Selon Alioune Tine, la principale cause des crises récurrentes en Niger est l’absence de consensus politique sur les questions nationales, le fonctionnement des institutions, l’absence de mécanisme de régulation des conflits. Ainsi le secrétaire général de la Raddho et ses camarades dénoncent l’emprise de démolition des institutions démocratique de la république du Niger. Ils exigent toutefois le rétablissement de l’ancienne Cour Constitutionnelle illégalement dissoute par le président Mamadou Tandjan. Les défenseurs des droits de l’Homme réclament par ailleurs l’intervention du président Mouammar Kadhafi pour empêcher la destruction de la constitution, mais également des sanctions contre le président du Niger au cas où il ne revenait pas à l’ordre constitutionnel normal. Les représentants des organisations de la Société civile de l’Afrique de l’Ouest se disent déterminer à s’opposer a toutes formes de manipulation constitutionnelle en vue de perpétuer le règne des régime clientélistes et prédateurs à la tête des Etats africains. Alioune Tine de conclure, « on reste déterminé face aux ambitions antidémocratiques du président Tandjan et de son gouvernement ».
Safi Amadou BA
Source Sununews.com