
Karim Wade, qui a consacré à ASI, sa première sortie de travail, quelques heures après sa prise de services, en tant que ministre en charge des Transports aériens, s’est engagé auprès des travailleurs de la compagnie, leur promettant que leurs salaires seront payés dans le courant de mai. La rencontre entre M. Wade et les travailleurs de ASi a eu lieu dans les locaux de l’Agence nationale de l’Aviation civile du Sénégal (ANACS) à l’Aéroport International Léopold Sédar Senghor. Le ministre d’Etat, ministre de la Coopération international, des Transports aériens, de la Aménagement du Territoire et des Infrastructures, a tenu en outre à faire observer, qu’entre dakar et Rabat, « il n’ya pas de problèmes particulier ». L’affaire Etat du Sénégal- Royal Air Maroc, est « ’un contentieux commercial, qui oppose des partenaires », a tenu à préciser Karim Wade.
Le Ministre d’Etat a également insisté sur son ambition de « garder les compétences nationales », car des « solutions existent ». Ila invité à l’étude des modalités de relance des activités de ASI, avec un cahier des charges précis. Parmi les modalités, le ministre d’Etat a évoqué l’entrée des travailleurs dans le capital de la compagnie, estimant que « c’est la meilleure garantie de pérennité » de ASI.
Face à leur nouveau ministre, les agents ont exprimé leur inquiétude, non sans mettre l’accent sur la nécessité de « compter d’abord sur l’expertise nationale », pour relancer Air Sénégal International.
"Avec ou sans la RAM, a demandé Ndiaga Samb, responsable syndical, l’Etat doit tout faire pour faire reprendre les activités de la compagnie. Nous avons les moyens de nous développer, personne ne le fera à notre place".
Source : Kanal150.com / ferloo.com
Le Ministre d’Etat a également insisté sur son ambition de « garder les compétences nationales », car des « solutions existent ». Ila invité à l’étude des modalités de relance des activités de ASI, avec un cahier des charges précis. Parmi les modalités, le ministre d’Etat a évoqué l’entrée des travailleurs dans le capital de la compagnie, estimant que « c’est la meilleure garantie de pérennité » de ASI.
Face à leur nouveau ministre, les agents ont exprimé leur inquiétude, non sans mettre l’accent sur la nécessité de « compter d’abord sur l’expertise nationale », pour relancer Air Sénégal International.
"Avec ou sans la RAM, a demandé Ndiaga Samb, responsable syndical, l’Etat doit tout faire pour faire reprendre les activités de la compagnie. Nous avons les moyens de nous développer, personne ne le fera à notre place".
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