
Depuis le 10 décembre, l’aéroport international Léopold Sédar Senghor n’a pas vu atterrir un seul avion en provenance des lieux saints de l’Islam où des compatriotes s’étaient rendus pour sacrifier au cinquième pilier de l’Islam : le pèlerinage. Du coup, c’est un millier de Sénégalais qui sint restés en Arabie saoudite. Une situation inacceptable que l’État sénégalais fait vivre à de vieilles personnes. Ils dépensent leur argent, difficilement économisé, faute du gouvernement qui n’a pas respecté le délai de leur retour. Ils se demandent chaque soir où loger et manger et avec quoi. Certes que Air Europa, commis par les autorités, va se démener, comme un beau diable, pour les ramener, sans dédommagements. Mais, le cauchemar qu’ils vivent atteste la carence du ministre d’état le plus chargé du Sénégal, ayant sur les épaules les Transports aériens : Karim, le fils du président Wade.
Pourtant il avait dilapidé l’argent du contribuable en affrétant un jet privé, depuis Bahreïn où il séjournait, pour rallier Dakar, afin de saluer les pèlerins en partance pour La Mecque. C’était juste pour un show médiatique, devant les caméras de la Rts. Karim s’était engagé à assurer la mission sans faute. Aujourd’hui, le ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang, autre responsable du pèlerinage, est attaqué par le Commissaire général aux lieux saints de l’Islam. Thierno Diakhaté a mis a nu le népotisme, érigé en règle jusqu’aux lieux saints de l’Islam. Le mal va persister, parce que sa racine n’est pas à localiser : gâre à quiconque cherchera des poux au fils de Wade, ministre des Transports aériens.
La médiocrité de Karim Wade sera imputée à Madické Niang, qu’il oblige à renier sa foi en racontant des contrevérités. Mais, les Sénégalais ne sont pas dupes. Ils savent que le jeune Karim, qui ne peut rien faire sans l’onction de son père est en terrain inconnu. L’Islam n’est pour lui qu’une religion de façade. Il n’a foi qu’à ses profits. Qu’importe si des musulmans sont laissés en rade. Son père est encore président du Sénégal. Il volera à son secours. Comme le 1er octobre dernier, durant lequel on avait fomenté qu’il était bloqué dans un ascenseur pris entre les étages d’un immeuble en feu. Mais, la fin du mandat du président Wade n’est pas pour l’éternité. Karim a été imposé. Il a échoué. Son père, qui tient à l’installer devant tous les Sénégalais, va payer. C’est la loi appliquée aux perdants.
La Redaction
Pourtant il avait dilapidé l’argent du contribuable en affrétant un jet privé, depuis Bahreïn où il séjournait, pour rallier Dakar, afin de saluer les pèlerins en partance pour La Mecque. C’était juste pour un show médiatique, devant les caméras de la Rts. Karim s’était engagé à assurer la mission sans faute. Aujourd’hui, le ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang, autre responsable du pèlerinage, est attaqué par le Commissaire général aux lieux saints de l’Islam. Thierno Diakhaté a mis a nu le népotisme, érigé en règle jusqu’aux lieux saints de l’Islam. Le mal va persister, parce que sa racine n’est pas à localiser : gâre à quiconque cherchera des poux au fils de Wade, ministre des Transports aériens.
La médiocrité de Karim Wade sera imputée à Madické Niang, qu’il oblige à renier sa foi en racontant des contrevérités. Mais, les Sénégalais ne sont pas dupes. Ils savent que le jeune Karim, qui ne peut rien faire sans l’onction de son père est en terrain inconnu. L’Islam n’est pour lui qu’une religion de façade. Il n’a foi qu’à ses profits. Qu’importe si des musulmans sont laissés en rade. Son père est encore président du Sénégal. Il volera à son secours. Comme le 1er octobre dernier, durant lequel on avait fomenté qu’il était bloqué dans un ascenseur pris entre les étages d’un immeuble en feu. Mais, la fin du mandat du président Wade n’est pas pour l’éternité. Karim a été imposé. Il a échoué. Son père, qui tient à l’installer devant tous les Sénégalais, va payer. C’est la loi appliquée aux perdants.
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