
En mettant en valeur et au premier chef, l’ancien ministre Farba Senghor, dans la configuration de son nouveau parti démocratique sénégalais libéral, le président Wade s’est résolu comme à aller au suicide. Il a mis les chèvres avec les choux, les carnivores avec des moutons. C’est l’unique lecture qui en est faite par ses proches des années de braise : « On ne comprend plus Abdoulaye Wade. A-t-il maintenant la tête sur les épaules », se demandent-ils. Car, « mettre Farba Senghor au-devant de Idrissa Seck, de Pape Diop et de Souleymane Ndéné Ndiaye », c’est vexer tous ses férus d’antan.
Mieux, c’est opposer celui-ci aux autres, dans une bataille à mort. Le sopi s’est suicidé », ont conclu certains partisans des uns et des autres. Car, à les en croire, « le président Wade a été mal inspiré » dans son choix. D’ailleurs, accusent-ils, « c’est sa faiblesse pour son épouse et son complexe pour son fils, Karim » ; qui seraient à l’origine d’un tel « apocalypse ». Le mot ne serait pas de trop. Car, « vouloir mettre Farba Senghor, au-dessus de personnalités au-devant des premières institutions du pays, dont le président du Sénat, ceux de l’Assemblée nationale et du Conseil économique et social, sans oublier Idrissa Seck, qui fut Premier ministre et numéro 2 du Pds », c’est « simplement concocter un fatal cocktail Molotov », se désole un proche de l’administrateur du défunt Pds, Abdoulaye Faye.
Pire, renchériront ceux qui assistaient à ses « confidences », « le président Wade par cet acte a enterré » sa formation politique. Ceci, pour avoir mis ensemble des « contradictions plus qu’opposées ». Selon nos interlocuteurs, en créant et structurant son nouveau parti, le président Wade entame « le démantèlement de tous ses efforts politiques ». Autrement, il va tenter, « en vain » de faire coexister « les hyènes, les rapaces et les chèvres », que seraient, sans catégorisation, Farba Senghor, Idrissa Seck et Pape Diop, entre autres proches et « disciples » du président Wade. L’avenir nous édifiera.
La Redaction
Mieux, c’est opposer celui-ci aux autres, dans une bataille à mort. Le sopi s’est suicidé », ont conclu certains partisans des uns et des autres. Car, à les en croire, « le président Wade a été mal inspiré » dans son choix. D’ailleurs, accusent-ils, « c’est sa faiblesse pour son épouse et son complexe pour son fils, Karim » ; qui seraient à l’origine d’un tel « apocalypse ». Le mot ne serait pas de trop. Car, « vouloir mettre Farba Senghor, au-dessus de personnalités au-devant des premières institutions du pays, dont le président du Sénat, ceux de l’Assemblée nationale et du Conseil économique et social, sans oublier Idrissa Seck, qui fut Premier ministre et numéro 2 du Pds », c’est « simplement concocter un fatal cocktail Molotov », se désole un proche de l’administrateur du défunt Pds, Abdoulaye Faye.
Pire, renchériront ceux qui assistaient à ses « confidences », « le président Wade par cet acte a enterré » sa formation politique. Ceci, pour avoir mis ensemble des « contradictions plus qu’opposées ». Selon nos interlocuteurs, en créant et structurant son nouveau parti, le président Wade entame « le démantèlement de tous ses efforts politiques ». Autrement, il va tenter, « en vain » de faire coexister « les hyènes, les rapaces et les chèvres », que seraient, sans catégorisation, Farba Senghor, Idrissa Seck et Pape Diop, entre autres proches et « disciples » du président Wade. L’avenir nous édifiera.
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