
Le matin du jour de la défaite de son père le président Abdou Diouf, Yacine avait quand même fait son jogging. Ses parents qui l’ont éduqué rigoureusement, ont tenu à ce qu’elle ait une tête bien pleine sur un corps bien fait. Ils lui ont appris à se tenir loin des activités politiques et publiques de son père et de gagner sa vie à la sueur de son front. Ainsi, le lendemain de la chute du régime socialiste, elle est allée amener ses enfants à l’école, sans raser les murs. On lui a appris à être digne dans les moments d’épreuves. Son père est battu par l’opposant Wade. Courageux et honnête, il fut le premier a appelé son adversaire pour le féliciter, sauvant du coup le Sénégal du chaos, que bien des observateurs redoutaient. Pour cette raison encore, la belle Yacine, copie conforme de son père, n’avait pas besoin de raser les murs. Les jours suivants, elle vaquera, naturellement, à ses besoins et s’occupera sereinement et sérieusement de sa famille et de sa profession.
Attachée à son pays, elle ne cédera pas à la tentation de suivre sa famille en France, où elle s’était retirée. Elle ne prendra pas non plus le premier avion pour aller profiter de la nomination de son père à une station, plus large, calme et riche que la présidence du Sénégal : la direction de l’Organisation internationale de la francophonie. C’est son père qui était élu, pas elle. En conséquence, depuis elle ne bouge pas du Sénégal. Elle n’est pas du genre à s’agripper derrière les jupes de maman ou encore être couvée par papa. Pourtant d’autres qui ont traversé les épreuves qu’elle a endurées après le départ de son père de la tête du Sénégal l’auraient fait volontiers : Yacine a divorcé avec son premier mari, avec qui elle a eu deux enfants. En conséquence, on image ce qu’a dû être sa souffrance. Mais, elle ne baissera pas pour autant la garde. Ses parents lui ont appris que dans la vie, il faut d’abord compter sur ses propres forces. Ainsi elle s’armera de dignité et de foi.
Aujourd’hui sa patience et son chois ont fini par lui offrir le bonheur : elle a rencontré l’homme de sa vie : M. Diokhané. Ils forment un couple uni. Elle n’a de temps que pour lui, leur famille et ses activités. Car, elle a toujours tenu, conformément, aux enseignements de ses parents, à vivre de la sueur de son front. L’unique fille de l’actuel président, Aïda Syndiely Rose Wade , devait s’inspirer de son exemple. Le pouvoir n’est pas éternel. Il ne s’agit pas de profiter de la position de son père pour monter des sociétés, en se faisant passer pour une sainte Nitouche. La richesse est dans le cœur et la tête. La quiétude est au prix d’une bonne conscience, ce qui passe par la droiture. Sindiely court les opéras les plus chers d’Europe, les spectacles et les rallyes.Yacine est casanière et effacée. La différence entre les deux filles de présidents du Sénégal réside, sans doute, dans leur différence d’éducation. Il s’y ajoute que si Yacaine est née loin du besoin, Sindiely a rejoint son père, arrivé pauvre et endetté au pouvoir.
La Redaction
Attachée à son pays, elle ne cédera pas à la tentation de suivre sa famille en France, où elle s’était retirée. Elle ne prendra pas non plus le premier avion pour aller profiter de la nomination de son père à une station, plus large, calme et riche que la présidence du Sénégal : la direction de l’Organisation internationale de la francophonie. C’est son père qui était élu, pas elle. En conséquence, depuis elle ne bouge pas du Sénégal. Elle n’est pas du genre à s’agripper derrière les jupes de maman ou encore être couvée par papa. Pourtant d’autres qui ont traversé les épreuves qu’elle a endurées après le départ de son père de la tête du Sénégal l’auraient fait volontiers : Yacine a divorcé avec son premier mari, avec qui elle a eu deux enfants. En conséquence, on image ce qu’a dû être sa souffrance. Mais, elle ne baissera pas pour autant la garde. Ses parents lui ont appris que dans la vie, il faut d’abord compter sur ses propres forces. Ainsi elle s’armera de dignité et de foi.
Aujourd’hui sa patience et son chois ont fini par lui offrir le bonheur : elle a rencontré l’homme de sa vie : M. Diokhané. Ils forment un couple uni. Elle n’a de temps que pour lui, leur famille et ses activités. Car, elle a toujours tenu, conformément, aux enseignements de ses parents, à vivre de la sueur de son front. L’unique fille de l’actuel président, Aïda Syndiely Rose Wade , devait s’inspirer de son exemple. Le pouvoir n’est pas éternel. Il ne s’agit pas de profiter de la position de son père pour monter des sociétés, en se faisant passer pour une sainte Nitouche. La richesse est dans le cœur et la tête. La quiétude est au prix d’une bonne conscience, ce qui passe par la droiture. Sindiely court les opéras les plus chers d’Europe, les spectacles et les rallyes.Yacine est casanière et effacée. La différence entre les deux filles de présidents du Sénégal réside, sans doute, dans leur différence d’éducation. Il s’y ajoute que si Yacaine est née loin du besoin, Sindiely a rejoint son père, arrivé pauvre et endetté au pouvoir.
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