
Son mari, le président Wade, se définit comme le « premier des informels ». Il a donc transmis son virus à son épouse. Car, ou Mme Wade ne connaît pas les règles qui régissent les contrats de travail au Sénégal ou elle crache dessus. Sinon, comment comprendre quelle puisse faire expulser un travailleur d’une entreprise qui a en charge la conception du monument, si cher à son mari. Le droit a été bafouillé. Certainement que Atepa technologies, qui emploie celui qui a été la victime de la furie de Mme Wade va ester en justice. Ne serait-ce que pour rappeler que nul n’a le droit de se faire justice.
La Première dame a sévi, parce que Pierre Goudiaby est dans l’œil de mire de son fils Karim. On se croirait au temps des « âges farouches ». Au cœur de la République, elle se permet une vendetta.
D’ailleurs de quoi se mêle-t-elle, pour qui sait qu’officiellement elle n’a aucune fonction dansl’organigramme régissant le monument de la renaissance ? Même sa fille Sindiely, auquel le président Wade a confié la gestion de son monument, ne peut se permettre le comportement qu’elle a eu. Mme Wade doit savoir qu’il y a une procédure administrative et judiciaire pour rompre un contrat. N’a-t-elle pas monté deux Sociétés civiles immobilières avec sa fille en France, son pays d’origine ?
La Première Dame a mis à la porte un employé, en toute illégalité et de la manière la plus discourtoise, qui soit. Mme Margueritte Viviane Vert Wade doit savoir raison garder. C’est toute la République qu’elle a défiée. Une « bourde » de plus, qui vient s’ajouter à ceux récurrents de sa famille. C’est ce que sachant, juste après son geste, la présidence fusera un communiqué pour dire que Mme Wade n’est « ni de loin, ni de près » mêlée au contrat qui lie le monument de la renaissance à l’entreprise d’Atepa. Une méthode de dégager en touche si connue qu’elle fait sourire ; d’autant que le Première Dame considère les employés du palais comme ses domestiques, contre lesquels elle crie, tance et menace.
La Redaction
La Première dame a sévi, parce que Pierre Goudiaby est dans l’œil de mire de son fils Karim. On se croirait au temps des « âges farouches ». Au cœur de la République, elle se permet une vendetta.
D’ailleurs de quoi se mêle-t-elle, pour qui sait qu’officiellement elle n’a aucune fonction dansl’organigramme régissant le monument de la renaissance ? Même sa fille Sindiely, auquel le président Wade a confié la gestion de son monument, ne peut se permettre le comportement qu’elle a eu. Mme Wade doit savoir qu’il y a une procédure administrative et judiciaire pour rompre un contrat. N’a-t-elle pas monté deux Sociétés civiles immobilières avec sa fille en France, son pays d’origine ?
La Première Dame a mis à la porte un employé, en toute illégalité et de la manière la plus discourtoise, qui soit. Mme Margueritte Viviane Vert Wade doit savoir raison garder. C’est toute la République qu’elle a défiée. Une « bourde » de plus, qui vient s’ajouter à ceux récurrents de sa famille. C’est ce que sachant, juste après son geste, la présidence fusera un communiqué pour dire que Mme Wade n’est « ni de loin, ni de près » mêlée au contrat qui lie le monument de la renaissance à l’entreprise d’Atepa. Une méthode de dégager en touche si connue qu’elle fait sourire ; d’autant que le Première Dame considère les employés du palais comme ses domestiques, contre lesquels elle crie, tance et menace.
La Redaction