
Il s'exprimait lors d'une conférence de presse, en présence des deux protagonistes et de son partenaire stratégique, avec lequel il est lié par un contrat qui prévoit, outre le duel entre Gris Bordeaux et Balla Bèye, quatre autres combats, à raison d'un par mois. ‘'Je n'ose même pas évaluer, ni estimer les dommages que la non tenue du combat Gris Bordeaux contre Balla Bèye 2 engendrerai'', a affirmé Nicolai. Seulement, pour ce combat prévu le 9 mars prochain, le promoteur mbourois peine à trouver un stade où tenir cette ‘'importante'' manifestation qu'il prépare depuis plusieurs mois et pour laquelle ''d'énormes dépenses'' sont déjà engagées, avec notamment une avance donné à chacun des deux lutteurs. Chaque lutteur doit percevoir environ 70 millions de francs CFA
‘'Le directeur du stade Demba Diop m'a informé lors de notre entrevue que le stade avait été réquisitionné pour les besoins du prochain sommet de l'OCI qui doit se tenir au Sénégal les 13 et 14 mars prochain'', a soutenu Luc Nicolai qui dit s'être aussitôt rendu auprès du directeur du stade Léopold Sédar Senghor.
‘'Le directeur du stade m'a bien reçu et m'a montré toute sa disponibilité à m'accorder l'organisation du combat, avant de m'appeler le lendemain pour me dire qu'il avait oublié que le stade été réquisitionner'', a-t-il déploré.
Il espère qu'une solution sera trouvée pour que la rencontre se tienne. ''Ce serait une belle occasion pour nos autorités de montrer à nos hôtes une facette de notre culture'', a dit le promoteur faisant allusion au Sommet de l'OCI.
Quant au deux lutteurs, ils ont tous les deux demandé au promoteur de faire ''l'impossible'' pour la tenue du combat à la date prévue.
S'agissant du différend entre lui et le Comité national de gestion de la lutte, Luc Nicolai pointe un doigt accusateur envers ce dernier pour dénoncer ce qu'il définit de ‘'deux poids et deux mesures''.
Il reproche au CNG d'être ''juge et partie, d'autant plus qu'il avait dit dans un passé récent toute sa satisfaction à l'endroit des promoteurs et que pour ce fait il n'organisera jamais de combat avec frappe''.
‘'Si aujourd'hui le CNG s'accoquine avec un agent marketing pour organiser ses propres combats, il faudrait qu'il puisse s'appliquer les mêmes règles et principes qui sont de mises pour les promoteurs'', s'est-il défendu.
Luc Nicolai a signalé que le CNG réclame aux organisateurs 5 millions de francs CFA frais d'organisation. Ceux-ci s'élevaient à 500 mille francs.
Le promoteur mbourois estime qu'il y a ''un manque de sérieux'' dans les pratiques du CNG. Il prévient, dès lors les autorités et tous les amateurs de lutte de veiller à ce que les choses s'éclaircissent, sinon, ''on n'est pas loin d'assister à la décrépitude de la lutte et une mort programmée de la discipline''.
Source: APS
‘'Le directeur du stade Demba Diop m'a informé lors de notre entrevue que le stade avait été réquisitionné pour les besoins du prochain sommet de l'OCI qui doit se tenir au Sénégal les 13 et 14 mars prochain'', a soutenu Luc Nicolai qui dit s'être aussitôt rendu auprès du directeur du stade Léopold Sédar Senghor.
‘'Le directeur du stade m'a bien reçu et m'a montré toute sa disponibilité à m'accorder l'organisation du combat, avant de m'appeler le lendemain pour me dire qu'il avait oublié que le stade été réquisitionner'', a-t-il déploré.
Il espère qu'une solution sera trouvée pour que la rencontre se tienne. ''Ce serait une belle occasion pour nos autorités de montrer à nos hôtes une facette de notre culture'', a dit le promoteur faisant allusion au Sommet de l'OCI.
Quant au deux lutteurs, ils ont tous les deux demandé au promoteur de faire ''l'impossible'' pour la tenue du combat à la date prévue.
S'agissant du différend entre lui et le Comité national de gestion de la lutte, Luc Nicolai pointe un doigt accusateur envers ce dernier pour dénoncer ce qu'il définit de ‘'deux poids et deux mesures''.
Il reproche au CNG d'être ''juge et partie, d'autant plus qu'il avait dit dans un passé récent toute sa satisfaction à l'endroit des promoteurs et que pour ce fait il n'organisera jamais de combat avec frappe''.
‘'Si aujourd'hui le CNG s'accoquine avec un agent marketing pour organiser ses propres combats, il faudrait qu'il puisse s'appliquer les mêmes règles et principes qui sont de mises pour les promoteurs'', s'est-il défendu.
Luc Nicolai a signalé que le CNG réclame aux organisateurs 5 millions de francs CFA frais d'organisation. Ceux-ci s'élevaient à 500 mille francs.
Le promoteur mbourois estime qu'il y a ''un manque de sérieux'' dans les pratiques du CNG. Il prévient, dès lors les autorités et tous les amateurs de lutte de veiller à ce que les choses s'éclaircissent, sinon, ''on n'est pas loin d'assister à la décrépitude de la lutte et une mort programmée de la discipline''.
Source: APS