
D’habitude, les déclarations de candidature à une élection étaient déclarées, au plus tôt, au courant de l’année durant laquelle le scrutin doit se dérouler. Le président Wade en annonçant la sienne à plus de deux ans avant la date officielle, ouvre la voie à une campagne électorale permanente. Il encourage à violer la loi électorale, mettant la Justice dans une très mauvaise posture. De ce fait, il pousse les citoyens à douter du pouvoir judicaire et à le braver.
Opposant, il avait demandé aux Sénégalais d’en découdre avec les forces de l’ordre. Il met encore en péril son pays, en persistant à maintenir à la tête du ministère de l’Intérieur un militant libéral, prêt à tout pour le servir, afin de demeurer dans son poste. En amenant de dernier à pousser toute l’opposition à boycotter les concertations autour du Code électoral, le président Wade a engagé du coup le Sénégal sur la voie de la contestation des résultats qui seront proclamés, et par voie de conséquence à des violences post et préélectorales.
L’élection présidentielle, prévue en 2012, est, également, très mal parti, au regard de l’âge du candidat Wade, qui fera courir d’énormes risques à notre pays, si, par miracle, il est réélu. Le scrutin de 2012 est celui de tous les dangers, parce que de par les actes qu’il pose, Wade démontre que, comme son pair, le franc-maçon Tandja, qui préside au destinées du Niger, sa précaution maximale sera d’organiser une élection juste « acceptable » par l’Occident. Car, il lui faut un troisième mandat pour se soustraire de la Justice avec son fils. Un autre jeu de poker, parce qu’évacuant la capacité de résistance de Sénégalais et minimisant les juridictions des pays occidentaux.
La Redaction
Opposant, il avait demandé aux Sénégalais d’en découdre avec les forces de l’ordre. Il met encore en péril son pays, en persistant à maintenir à la tête du ministère de l’Intérieur un militant libéral, prêt à tout pour le servir, afin de demeurer dans son poste. En amenant de dernier à pousser toute l’opposition à boycotter les concertations autour du Code électoral, le président Wade a engagé du coup le Sénégal sur la voie de la contestation des résultats qui seront proclamés, et par voie de conséquence à des violences post et préélectorales.
L’élection présidentielle, prévue en 2012, est, également, très mal parti, au regard de l’âge du candidat Wade, qui fera courir d’énormes risques à notre pays, si, par miracle, il est réélu. Le scrutin de 2012 est celui de tous les dangers, parce que de par les actes qu’il pose, Wade démontre que, comme son pair, le franc-maçon Tandja, qui préside au destinées du Niger, sa précaution maximale sera d’organiser une élection juste « acceptable » par l’Occident. Car, il lui faut un troisième mandat pour se soustraire de la Justice avec son fils. Un autre jeu de poker, parce qu’évacuant la capacité de résistance de Sénégalais et minimisant les juridictions des pays occidentaux.
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