
La marraine suédoise, une certaine Hannelore Grill, est reçue depuis le 14 novembre par Plan international, une organisation non gouvernementale (Ong) qui oeuvre pour le développement des couches vulnérables. La conférence de presse s'est tenu, hier, au siège de ladite structure. Hannelore Grill a effectué le trajet Stockhlom-Dakar en vélo, soit 9300 km, pour rendre visite à un enfant qu'elle Soutient et qui réside dans la région de Louga, communauté rurale de Gun Sall, plus précisément dans le village de Ndiock Sall. Un voyage effectué en trois mois et dix jours (du 4
août au 14 novembre 2009). Fatou Sall est la bénéficiaire de la bourse d'étude prise en charge par la Suédoise et l'Ong Plan International. La bourse est valable jusqu'à ce que la petite Fatou soit majeure. Elle est actuellement en classe de 6e secondaire.
Madame Grill a, tenez-vous bien, 60 ans. Il a fallu, selon elle, une préparation de deux ans pour appréhender sans grande, difficulté le périple. «Je me suis préparée selon un planning bien déterminé. Qui va des entraînements à la recherche de partenaires en passant par les vaccinations», précise-t-elle. Passionné de vélo, cette mère de famille de quatre enfants dira simplement : «j'aime faire du vélo en particulier, et en tant que sportive, il fallait que j'y arrive malgré les difficultés.» Ancienne secrétaire dans une industrie d'automobiles, aujourd'hui au chômage, elle a d'abord fait le trajet Stockhlom-Paris toute seule. Ensuite, elle a rejoint un autre groupe, tous férus de vélos, afin de poursuivre l'aventure. « je suis heureuse d'être dans les dispositions de pouvoir aider. Quand bien même, je ne suis pas riche», confie l'aventurière lors de la conférence de presse. En compagnie de Plan Suède, elle annonce que si cela était à refaire, elle tenterait à nouveau la randonnée.
Le chargé de la communication et des relations publiques de Plan International, Papa Maêl Diop, s'est dit satisfait de telles initiatives structurées en un système de parrainage très efficace. Lors du match amical de football de l'équipe nationale du Sénégal contre la Norvège, Plan International avait réussi à enregistrer 15.000 nouveaux parrains. «Si Plan International arrive à avoir un budget, c'est grâce au parrainage qui nous permet de financer des projets de formations et de créations d'entreprises pour les jeunes», assure Papa Mael Diop. C'est dans ce sens qu'un projet de microfinance pour 3.000 jeunes répartis dans les régions de Dakar, Thiès et Kaolack, a été initié.
La sexagénaire qui faisait près de 122 km par jour promet qu'elle va essayer de convaincre ses compatriotes pour augmenter le nombre de parrains.
François. A. DIOUF (Stagiaire)
Source Walf Grand Place
août au 14 novembre 2009). Fatou Sall est la bénéficiaire de la bourse d'étude prise en charge par la Suédoise et l'Ong Plan International. La bourse est valable jusqu'à ce que la petite Fatou soit majeure. Elle est actuellement en classe de 6e secondaire.
Madame Grill a, tenez-vous bien, 60 ans. Il a fallu, selon elle, une préparation de deux ans pour appréhender sans grande, difficulté le périple. «Je me suis préparée selon un planning bien déterminé. Qui va des entraînements à la recherche de partenaires en passant par les vaccinations», précise-t-elle. Passionné de vélo, cette mère de famille de quatre enfants dira simplement : «j'aime faire du vélo en particulier, et en tant que sportive, il fallait que j'y arrive malgré les difficultés.» Ancienne secrétaire dans une industrie d'automobiles, aujourd'hui au chômage, elle a d'abord fait le trajet Stockhlom-Paris toute seule. Ensuite, elle a rejoint un autre groupe, tous férus de vélos, afin de poursuivre l'aventure. « je suis heureuse d'être dans les dispositions de pouvoir aider. Quand bien même, je ne suis pas riche», confie l'aventurière lors de la conférence de presse. En compagnie de Plan Suède, elle annonce que si cela était à refaire, elle tenterait à nouveau la randonnée.
Le chargé de la communication et des relations publiques de Plan International, Papa Maêl Diop, s'est dit satisfait de telles initiatives structurées en un système de parrainage très efficace. Lors du match amical de football de l'équipe nationale du Sénégal contre la Norvège, Plan International avait réussi à enregistrer 15.000 nouveaux parrains. «Si Plan International arrive à avoir un budget, c'est grâce au parrainage qui nous permet de financer des projets de formations et de créations d'entreprises pour les jeunes», assure Papa Mael Diop. C'est dans ce sens qu'un projet de microfinance pour 3.000 jeunes répartis dans les régions de Dakar, Thiès et Kaolack, a été initié.
La sexagénaire qui faisait près de 122 km par jour promet qu'elle va essayer de convaincre ses compatriotes pour augmenter le nombre de parrains.
François. A. DIOUF (Stagiaire)
Source Walf Grand Place