
A défaut de la « grande » CAN, le Sénégal pourra prétendre abriter une phase finale des petites catégories (et pourquoi pas l’une et l’autre ?). Lui qui ne s’est jamais qualifié à une CAN des cadets et n’a disputé que deux CAN des juniors (en 1993 avec la génération des Tony Sylva et en 1995 avec celle de Salif Diao), comblerait ainsi un vide qui ne se justifie pas. Surtout que chez les jeunes, du très bon boulot est en train d’être fait.
Alors, après avoir raté le coche en 2004 pour la CAN 2008 dont l’organisation avait finalement été attribuée au Ghana, le Sénégal (qui n’avait pas alors déposé de dossier, malgré les assurances de la tutelle) doit cette fois se secouer. Il n’y a rien de tel qu’une CAN de foot pour susciter un engouement général et fédérer toutes les énergies. Comme en 1992, malgré le fiasco des « Lions » qui n’étaient pas allés plus loin que les quarts de finale...
B. Khalifa Ndiaye
Sourcre Le Soleil
Alors, après avoir raté le coche en 2004 pour la CAN 2008 dont l’organisation avait finalement été attribuée au Ghana, le Sénégal (qui n’avait pas alors déposé de dossier, malgré les assurances de la tutelle) doit cette fois se secouer. Il n’y a rien de tel qu’une CAN de foot pour susciter un engouement général et fédérer toutes les énergies. Comme en 1992, malgré le fiasco des « Lions » qui n’étaient pas allés plus loin que les quarts de finale...
B. Khalifa Ndiaye
Sourcre Le Soleil