
Le président Wade est celui qui fait nommer un ancien calot bleu, nom de sa garde rapprochée du temps où il était opposant, au grade de « capitaine de police » : son neveu et garde de corps, Lamine Faye, en l’occurrence. Pourtant, celui-ci n’a jamais fréquenté l’École militaire. Il n’est pas non plus passé sous les drapeaux.
Le président Wade cultive, également, le favoritisme au sein du corps militaire. Pour preuve, les gendarmes affectés au palais de la République sont mieux traités, financièrement, que leurs chefs. C’est ce qui fait que chacun veut y être affecté. Ceux qui ont cette « chance » travaillent pour y avoir racines. Une situation qui indispose les autorités militaires, dont certaines n’apprécient pas qu’il ait politisé leur corps. Une situation sans précédent, que bon nombre d’officiers pense être grosse de « tous les dangers ». Car, si dans le Commandement le subalterne est tenu d’exécuter les ordres de son chef, en politique, la règle demeure la controverse. Q’arrivera-t-il demain, si uns sous-officier découvre qu’un officier est son adversaire politique ?
Le président Wade a également nommé dans les rangs de la police des hommes moins gradés que ceux qu’ils ont à commander, jusqu’à la tête de l’État-major. Il fera de même à la direction de la Sûreté nationale. Des déviations qui peuvent être des sources de tous les conflits. Car, le grade n’est pas un vain mot dans les rangs de la police, encore moins de la gendarmerie, de l’armée, des Douanes que des gardes pénitentiaires. Pourtant Abdoulaye Wade le sait, puisqu’ayant été soldat. Mais Wade vit de parti pris et ne peut pas se mouvoir dans les normes. C’est son défaut congénital. Mais, son choix de chambouler l’ordre établi dans l’armée est un danger réel pour le Sénégal et ses institutions.
La Redaction
Le président Wade cultive, également, le favoritisme au sein du corps militaire. Pour preuve, les gendarmes affectés au palais de la République sont mieux traités, financièrement, que leurs chefs. C’est ce qui fait que chacun veut y être affecté. Ceux qui ont cette « chance » travaillent pour y avoir racines. Une situation qui indispose les autorités militaires, dont certaines n’apprécient pas qu’il ait politisé leur corps. Une situation sans précédent, que bon nombre d’officiers pense être grosse de « tous les dangers ». Car, si dans le Commandement le subalterne est tenu d’exécuter les ordres de son chef, en politique, la règle demeure la controverse. Q’arrivera-t-il demain, si uns sous-officier découvre qu’un officier est son adversaire politique ?
Le président Wade a également nommé dans les rangs de la police des hommes moins gradés que ceux qu’ils ont à commander, jusqu’à la tête de l’État-major. Il fera de même à la direction de la Sûreté nationale. Des déviations qui peuvent être des sources de tous les conflits. Car, le grade n’est pas un vain mot dans les rangs de la police, encore moins de la gendarmerie, de l’armée, des Douanes que des gardes pénitentiaires. Pourtant Abdoulaye Wade le sait, puisqu’ayant été soldat. Mais Wade vit de parti pris et ne peut pas se mouvoir dans les normes. C’est son défaut congénital. Mais, son choix de chambouler l’ordre établi dans l’armée est un danger réel pour le Sénégal et ses institutions.
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