
Après plusieurs heures d’audition par la Division des investigations criminelles (Dic), et une garde à vue, Mody Niang a été libéré sur instruction du Chef de l’Etat a-t-on appris de sources sûres. D’après ces sources, le Président Abdoulaye Wade estime que dans le cadre de la dépénalisation des délits de presse, et la liberté de presse, le sieur Niang ne doit pas être gardé à vue. Mais selon nos informations, la procédure judiciaire va se poursuivre. Mody niang a nié les faits qu’on lui reproche tout au long de son face à face avec les enquêteurs de la direction de la police judiciaire.
Connu pour ses chroniques très virulentes à l’endroit des tenants du pouvoir, Mody Niang a été entendu ce jeudi par la Division des investigations criminelles (Dic) sur plainte de Cheikh Amar, le directeur de Tse.
Le grand contributeur et pourfendeur du Chef de l’Etat, s’est expliqué sur les 26 milliards de francs Cfa que l’Anoci aurait versés à l’entrepreneur Cheikh Amar de Tse pour les besoins des travaux de construction de villas présidentielles. « Cheikh Amar avait bénéficié de 26 milliards pour les maisons présidentielles qui sont toujours virtuelles », aurait-il dit.
Des accusations qui n’ont pas plu à Cheikh Amar qui lui a envoyé une sommation avant de saisir le Procureur de la République d’une plainte pour « diffamation et diffusion de fausses nouvelles ». Le procureur a alors instruit la Dic d’ouvrir une enquête. « Il est temps qu’il arrête de diffamer les gens. Il le fait depuis des années », peste Cheikh Amar.
Mais dès l’annonce de Mody Niang a rejeté les accusations qui lui sont attribuées. Il a soutenu que seul Rewmi quotidien lui a prêté ces propos alors qu’il y avait une bonne dizaine de journalistes sur place. "J’ai même envoyé un droit de réponse pour préciser ce que je n’ai pas dit ce que journal a écrit mais le droit de réponse n’a jamais été publié", avait-il confié dans une contribution qu’il a écrite pour préciser ses propos.
Mody Niang va donc retrouver les siens.
Source Sen24heures.com
Connu pour ses chroniques très virulentes à l’endroit des tenants du pouvoir, Mody Niang a été entendu ce jeudi par la Division des investigations criminelles (Dic) sur plainte de Cheikh Amar, le directeur de Tse.
Le grand contributeur et pourfendeur du Chef de l’Etat, s’est expliqué sur les 26 milliards de francs Cfa que l’Anoci aurait versés à l’entrepreneur Cheikh Amar de Tse pour les besoins des travaux de construction de villas présidentielles. « Cheikh Amar avait bénéficié de 26 milliards pour les maisons présidentielles qui sont toujours virtuelles », aurait-il dit.
Des accusations qui n’ont pas plu à Cheikh Amar qui lui a envoyé une sommation avant de saisir le Procureur de la République d’une plainte pour « diffamation et diffusion de fausses nouvelles ». Le procureur a alors instruit la Dic d’ouvrir une enquête. « Il est temps qu’il arrête de diffamer les gens. Il le fait depuis des années », peste Cheikh Amar.
Mais dès l’annonce de Mody Niang a rejeté les accusations qui lui sont attribuées. Il a soutenu que seul Rewmi quotidien lui a prêté ces propos alors qu’il y avait une bonne dizaine de journalistes sur place. "J’ai même envoyé un droit de réponse pour préciser ce que je n’ai pas dit ce que journal a écrit mais le droit de réponse n’a jamais été publié", avait-il confié dans une contribution qu’il a écrite pour préciser ses propos.
Mody Niang va donc retrouver les siens.
Source Sen24heures.com