
Eh bien. À cause de ses bisbilles avec les travailleurs du secteur de la santé. Pardi ! En effet, juste avant son départ, docteur Issa, déclarent toujours les sources, aurait signé des accords avec les syndicalistes du secteur de la santé qui avoisineraient la colossale somme de 2 milliards de nos pauvres francs dévalués, sans tenir compte des possibilités financières de son département. Ce qui est appelé engagements de reclassement, ou, pour être simple, protocole d'accord, ne pouvant être supporté par le ministère en question. Un accord qui a mis les techniciens de ce ministère dans tous leurs états. A cela s'ajoute, l'affaire dite des médicaments, où il serait cité par certaines langues qui lui veulent du bien. Mauvaises ? Là est la question…
Car, d'après ce qui se dit, et toujours selon nos sources, au moment où il dirigeait le département de la santé, beaucoup de médicaments chiffrés à plusieurs millions, et que l'on disait être offerts aux familles religieuses dans le cadre de la célébration des magal, gamou et autres atterrissaient ailleurs. Et toujours, déclarent les mêmes sources, ces médicaments seraient dans un endroit que les pharmacies et pharmaciens n'aiment pas, mais alors, pas du tout entendre parler. Un véritable concurrent malsain, pour l'industrie de la pharmacie. N'allez pas voir très loin. C'est tellement si proche de vous. Suivez notre regard !
Source: L'office
Car, d'après ce qui se dit, et toujours selon nos sources, au moment où il dirigeait le département de la santé, beaucoup de médicaments chiffrés à plusieurs millions, et que l'on disait être offerts aux familles religieuses dans le cadre de la célébration des magal, gamou et autres atterrissaient ailleurs. Et toujours, déclarent les mêmes sources, ces médicaments seraient dans un endroit que les pharmacies et pharmaciens n'aiment pas, mais alors, pas du tout entendre parler. Un véritable concurrent malsain, pour l'industrie de la pharmacie. N'allez pas voir très loin. C'est tellement si proche de vous. Suivez notre regard !
Source: L'office