
‘’Monsieur l’ancien ministre du Budget aujourd’hui Premier ministre, mettez de l’argent de côté pour faire des études de faisabilité’’, a-t-il dit mardi lors d’un conseil présidentiel sur les ports et chemins de fer.
‘’Ne dites pas : +on va voir le Canada pour le financement, on va voir je ne sais pas qui+’’, a poursuivi le chef de l’Etat, pour qui ces études nécessitent des ‘’sommes qui ne sont pas très importantes’’.
‘’Le temps d’aller voir le Canada, la France ou je ne sais qui, vous perdez un an ou deux’’, a-t-il expliqué, notant que ‘’lorsqu’on a une étude de faisabilité, on va deux fois plus vite que lorsque l’on n’en a pas’’.
‘’Alors vous commettez un cabinet’’, lui a-t-il dit, non sans lui demander de préférer les cabinets qui peuvent faire ces études ‘’en 4 mois ou six mois’’. ‘’Tout ce que nous allons faire maintenant, il faut faire des études’’, a encore insisté le président de la République.
Une délégation iranienne qui aimerait réaliser une raffinerie et une usine de pétrochimie dans la future zone franche qui devrait se situer entre l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) et la mer lui a demandé s’il disposait d’une étude de faisabilité sur la question, a-t-il raconté, non sans exprimer sa surprise.
‘’Moi je pensais que c’était à eux de faire une étude de faisabilité’’, s’est-il interloqué, avant d’ajouter : ‘’donc désormais prenons l’habitude de faire ne serait-ce que des pré-études de faisabilité qui intègrent les données’’. ‘’Et puis après, quand vous le donnez au banquier ou au bailleurs de fonds, vous lui dites : +il faut me rembourser+’’, a-t-il indiqué,soulignant encore que cette démarche ‘’fait gagner du temps’’.
Source: APS / Sud Quotidien
‘’Ne dites pas : +on va voir le Canada pour le financement, on va voir je ne sais pas qui+’’, a poursuivi le chef de l’Etat, pour qui ces études nécessitent des ‘’sommes qui ne sont pas très importantes’’.
‘’Le temps d’aller voir le Canada, la France ou je ne sais qui, vous perdez un an ou deux’’, a-t-il expliqué, notant que ‘’lorsqu’on a une étude de faisabilité, on va deux fois plus vite que lorsque l’on n’en a pas’’.
‘’Alors vous commettez un cabinet’’, lui a-t-il dit, non sans lui demander de préférer les cabinets qui peuvent faire ces études ‘’en 4 mois ou six mois’’. ‘’Tout ce que nous allons faire maintenant, il faut faire des études’’, a encore insisté le président de la République.
Une délégation iranienne qui aimerait réaliser une raffinerie et une usine de pétrochimie dans la future zone franche qui devrait se situer entre l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) et la mer lui a demandé s’il disposait d’une étude de faisabilité sur la question, a-t-il raconté, non sans exprimer sa surprise.
‘’Moi je pensais que c’était à eux de faire une étude de faisabilité’’, s’est-il interloqué, avant d’ajouter : ‘’donc désormais prenons l’habitude de faire ne serait-ce que des pré-études de faisabilité qui intègrent les données’’. ‘’Et puis après, quand vous le donnez au banquier ou au bailleurs de fonds, vous lui dites : +il faut me rembourser+’’, a-t-il indiqué,soulignant encore que cette démarche ‘’fait gagner du temps’’.
Source: APS / Sud Quotidien