’’Depuis quelques temps, a-t-il déploré, des enseignants mènent des grèves politiques, cherchent à perturber le système éducatif par des revendications sans fondement, harcelant sans cesse le Gouvernement. Les Sénégalaises et les Sénégalais en sont témoins’’.
’’La vérité, c’est qu’il y a quelques années, dans un Gouvernement de coalition que j’avais formé avec les alliés de l’époque, j’avais confié, en toute bonne foi, le Ministère de la Fonction publique à l’un d’entre eux. Mon partenaire que la bonne foi n’étouffe pas passe tout son temps à placer ses militants au cœur du système éducatif qu’il a fini par noyauter’’, a accusé le président Wade, selon qui depuis qu’il y a eu séparation l’homme en question ‘’manipule ses militants pour perturber le secteur de l’éducation’’.
Le président Abdoulaye Wade a ajouté concernant son ex-ministre : ‘’il faut reconnaître qu’il y réussit malgré les milliers d’enseignements qui, de plus en plus, refusent les grèves de harcèlement politiques. Avec ce que je viens de dire, ils saisiront mieux la logique de ces grèves qui jurent avec les importants efforts que l’Etat consacre à l’éducation et aux enseignants’’.
Partant de là, il a souligné que son adresse va à l’endroit de ‘’la très grande majorité des enseignants ayant refusé de suivre cette aventure sans lendemain’’ et à qui il rend hommage.
’’Nous connaissons tous la noblesse et la délicatesse qui s’attachent au métier d’enseignant, parce que c’est la source d’où jaillit la lumière du savoir qui éclaire la pensée pour orienter l’action, surtout dans une société où, justement, le savoir et le savoir-faire commandent le progrès des Nations’’, a-t-il indiqué assurant qu’il reste ‘’un allié naturel pour les enseignants’’ dans la mesure où son ‘’pari pour des ressources humaines de qualité est un choix volontariste et stratégique’’.
Faisant part de l’option assignée au Gouvernement pour l’éducation et la formation, le chef de l’Etat a dit qu’elle est ‘’sans conditions’’ et ‘’n’a de limites que les possibilités du Budget national’’. En effet, a-t-il souligné, ‘’je suis bien convaincu que chaque franc dépensé dans ce secteur est un investissement pour le futur’’.
’’Au demeurant, a martelé le président Abdoulaye Wade, le Gouvernement reste fidèle à ses engagements, ouvert au dialogue et à la concertation. Mais il ne cédera ni au chantage, ni aux agissements illusoires d’une minorité de grévistes qui se trompent lourdement en croyant le prendre en otage’’.
’’La vérité, c’est qu’il y a quelques années, dans un Gouvernement de coalition que j’avais formé avec les alliés de l’époque, j’avais confié, en toute bonne foi, le Ministère de la Fonction publique à l’un d’entre eux. Mon partenaire que la bonne foi n’étouffe pas passe tout son temps à placer ses militants au cœur du système éducatif qu’il a fini par noyauter’’, a accusé le président Wade, selon qui depuis qu’il y a eu séparation l’homme en question ‘’manipule ses militants pour perturber le secteur de l’éducation’’.
Le président Abdoulaye Wade a ajouté concernant son ex-ministre : ‘’il faut reconnaître qu’il y réussit malgré les milliers d’enseignements qui, de plus en plus, refusent les grèves de harcèlement politiques. Avec ce que je viens de dire, ils saisiront mieux la logique de ces grèves qui jurent avec les importants efforts que l’Etat consacre à l’éducation et aux enseignants’’.
Partant de là, il a souligné que son adresse va à l’endroit de ‘’la très grande majorité des enseignants ayant refusé de suivre cette aventure sans lendemain’’ et à qui il rend hommage.
’’Nous connaissons tous la noblesse et la délicatesse qui s’attachent au métier d’enseignant, parce que c’est la source d’où jaillit la lumière du savoir qui éclaire la pensée pour orienter l’action, surtout dans une société où, justement, le savoir et le savoir-faire commandent le progrès des Nations’’, a-t-il indiqué assurant qu’il reste ‘’un allié naturel pour les enseignants’’ dans la mesure où son ‘’pari pour des ressources humaines de qualité est un choix volontariste et stratégique’’.
Faisant part de l’option assignée au Gouvernement pour l’éducation et la formation, le chef de l’Etat a dit qu’elle est ‘’sans conditions’’ et ‘’n’a de limites que les possibilités du Budget national’’. En effet, a-t-il souligné, ‘’je suis bien convaincu que chaque franc dépensé dans ce secteur est un investissement pour le futur’’.
’’Au demeurant, a martelé le président Abdoulaye Wade, le Gouvernement reste fidèle à ses engagements, ouvert au dialogue et à la concertation. Mais il ne cédera ni au chantage, ni aux agissements illusoires d’une minorité de grévistes qui se trompent lourdement en croyant le prendre en otage’’.