
Après les accusations de «récupération politique» Gaston Mbengue à l’encontre de Me Mbaye Jacques Diop, la réponse de ce dernier ne s’est pas faite attendre. L’ancien maire de Rufisque qui avait invité dans sa ville les deux lutteurs Yékini et Balla Bèye II une semaine après leur confrontation, affirme dans une lettre-réponse (dans laquelle il se réserve le droit de lui servir une sommation interpellative) que Gaston Mbengue est l’auteur de la seule note politique lors de cette manifestation «qui était tout sauf un meeting politique» se défend-il. À l’endroit de Gaston Mbengue qui pensait à une visite de courtoisie, Mbaye Jacques Diop lance : «Salif Gaston Mbengue est un fieffé menteur ! Il ne possède aucun sens de l’honneur.» Puis il s’emporte : «d’abord, premier flagrant délit de malhonnêteté intellectuelle, le «nous» qu’il emploie, «embarquant» dans son vaisseau de contrevérités, deux paisibles amis et neveux dont l’éducation et la courtoisie ne sont plus à démontrer. Entre Yékini, Baboye et moi, il ne peut y avoir un millimètre d’espace pour les vautours genre Gaston Mbengue.» Mieux, il assure que c’est Gaston Mbengue, sans doute «grisé par la multitude des amis et sympathisants» qui avait en exhorté les Rufisquois à soutenir l’ancien président du Craes. Dès lors, les accusations de Gaston Mbengue sont vues par Mbaye Jacques Diop comme la preuve de «ce qu’il y a de plus vil et plus bas dans les pulsions de certains hominidés qui évoluent parmi nous, prêts à tout pour sauvegarder des « intérêts sordides » et n’ayant d’humain que l’apparence et le nom.»
«Une sommation interpellative pour qu’il confirme ses propos outrageants» Particulièrement remonté envers Gaston, Mbaye Jacques Diop souligne ne pas être concerné par «ses problèmes de “baana-baana” pseudo –promoteur de combats de lutte.» À propos de la présence du promoteur au cours du tour de ville offert à ses deux amis Baboye et Yékini, Mbaye Jacques qu’il ne l’a même pas invité : «Salif Gaston Mbengue, comme la mouche du coche à cru devoir s’inviter.» Rappelant ses faits d’armes en faveur des sportifs sénégalais, Mbaye Jacques Diop jure ne pas être l’égal de Gaston Mbengue, qu’il accuse de tous les péchés d’Israël. «Mes gestes, à l’égard de Baboye et de Yékini, vont au-delà des piètres champs d’évolution, espaces de médiocrité de minables de la trempe de Gaston Mbengue alias Salif» tonne-t-il, avant d’accuser le promoteur de «confusionniste» et de malhonnête qui a tenté «sans vergogne, faisant feu de tous bois, d’ériger une muraille de Chine, entre Ndiawar Touré et (lui).» Enfin, il souligne dans sa lettre réponse que le promoteur a fait preuve d’un excès de langage, de diffamation et de dénonciation calomnieuse. Par conséquent, il se réserve le droit de faire «servir à Gaston Mbengue, une sommation interpellative pour qu’il confirme ses propos outrageants proférés dans sa conférence de presse.»
Source: L'observateur
«Une sommation interpellative pour qu’il confirme ses propos outrageants» Particulièrement remonté envers Gaston, Mbaye Jacques Diop souligne ne pas être concerné par «ses problèmes de “baana-baana” pseudo –promoteur de combats de lutte.» À propos de la présence du promoteur au cours du tour de ville offert à ses deux amis Baboye et Yékini, Mbaye Jacques qu’il ne l’a même pas invité : «Salif Gaston Mbengue, comme la mouche du coche à cru devoir s’inviter.» Rappelant ses faits d’armes en faveur des sportifs sénégalais, Mbaye Jacques Diop jure ne pas être l’égal de Gaston Mbengue, qu’il accuse de tous les péchés d’Israël. «Mes gestes, à l’égard de Baboye et de Yékini, vont au-delà des piètres champs d’évolution, espaces de médiocrité de minables de la trempe de Gaston Mbengue alias Salif» tonne-t-il, avant d’accuser le promoteur de «confusionniste» et de malhonnête qui a tenté «sans vergogne, faisant feu de tous bois, d’ériger une muraille de Chine, entre Ndiawar Touré et (lui).» Enfin, il souligne dans sa lettre réponse que le promoteur a fait preuve d’un excès de langage, de diffamation et de dénonciation calomnieuse. Par conséquent, il se réserve le droit de faire «servir à Gaston Mbengue, une sommation interpellative pour qu’il confirme ses propos outrageants proférés dans sa conférence de presse.»
Source: L'observateur