
POUR UN VEHICULE ACHETE A 8,5 MILLIONS : Mame Goor Diazaka visé par une plainte pour escroquerie
Après Alias Diallo, voilà qu'une plainte pour escroquerie portant sur une affaire de véhicule 4 X4 vendu à 8 millions 500 mille francs par le sieur Ndiaga Guèye au chanteur Mame Groor «Diazaka», sera vidée le 23 février prochain. Diaraka à qui l'on réclame plus de 2 millions dit avoir affaire à un «ivrogner ».
Le chanteur Mame Goor Diazaka sera au tribunal le 23 février prochain. Poursuivi pour escroquerie par le sieur Ndiaga Guèye, il est accusé d'avoir refusé de s'acquitter de sa dette d'une valeur de 2,5 millions de francs. Le différend remonte à 2008, année où le chanteur acheta auprès de Ndiaga Guèye un véhicule 4X4 Nissan Xterra de couleur blanche.
Le plaignant n'est personne d'autre que le voisin du chanteur. En visite hier à la rédaction de Walf Grand-Place, Guèye crie au voleur. «J'importe des véhicules des Etats-Unis. Mame Goor Mboup, qui habile le même immeuble que moi, m'a demandé de lui vendre un véhicule 4X4. Dans un premier temps, j'ai refusé, parce que soupçonnant cet individu n'avoir pas les moyens dacquérir le véhicule convoité, explique le plaignant tout en exhibant des procès-verbaux. Malgré mes réticences, il est revenu et s'est fait insistant, en me demandant de lui faire une promesse de vente qu'il a déposée auprès d'une banque.»
D'après cet homme d'affaires, Mame Goor reviendra trois semaines après pour lui donner un chèque de 5 millions francs. Et le client et le vendeur étaient tombés d'accord sur un versement mensuel de 150.000 francs. Ce que le chanteur respectera cinq mois consécutifs. Puis, plus de versement de traite. «Depuis août 2008, il ne paye plus. Il me demande d'attendre qu'on lui paye ses droits d'auteur ou qu'il voyage », révèle Guèye qui maintient que l'artiste lui doit 2 millions 510.000 francs.
Las de courir derrière son débiteur, le créancier lui sert une sommation interpellative. Mame Goor refuse, de répondre. Le 22 décembre 2008, informe-t-il, «j'ai porté plainte contre lui pour escroquerie à la gendarmerie de Yarakh. Après, je l'ai assigné au tribunal. J'attends toujours mon argent. Et ce truand refuse de me le restituer.»
MAME GOOR DIAZAKA : «C'est lui qui a eu des problèmes et j'ai voulu l'aider »
Joint au téléphone, Mame Goor Mboup nie les accusations de celui qu'il traite de «menteur à problème.» Sans sourciller, Diazaka assène : «c'est un soûlard. Je n'ai pas besoin de son argent ni de sa voiture. J'ai garé un Audi et un Honda chez moi. C'est mon voisin et il avait des problèmes avec sa femme qu'il avait battue. Lorsque le tribunal l'a contraint à payer une amende, il est venu me proposer de me vendre le véhicule. Je lui ai fait un chèque de 5 millions. Sans compter les 1.50.000 francs que je lui donnais des mois durant. Sans compter la vignette que j'ai acquittée à 140.000 francs.»
Où se situe le problème alors ? Mame Goor indique que c'est au mois de Ramadan, qui coincide avec les vacances pour les artistes, que «je lui ai demandé de patienter. Le mois suivant, il a exigé que je lui fasse trois versements. J'ai dit niet. Il a voulu confisquer ma carte grise. Je m’y suis opposé. Je ne refuse pas de payer. Seulement, je précise que je ne lui dois qu'1 million 400 ou 600.000 francs. J'attends la décision de justice pour les lui donner. Les gens me connaissent, je ne dois rien à personne.»
Ndèye Awa LO
Source Walf Grand Place
Après Alias Diallo, voilà qu'une plainte pour escroquerie portant sur une affaire de véhicule 4 X4 vendu à 8 millions 500 mille francs par le sieur Ndiaga Guèye au chanteur Mame Groor «Diazaka», sera vidée le 23 février prochain. Diaraka à qui l'on réclame plus de 2 millions dit avoir affaire à un «ivrogner ».
Le chanteur Mame Goor Diazaka sera au tribunal le 23 février prochain. Poursuivi pour escroquerie par le sieur Ndiaga Guèye, il est accusé d'avoir refusé de s'acquitter de sa dette d'une valeur de 2,5 millions de francs. Le différend remonte à 2008, année où le chanteur acheta auprès de Ndiaga Guèye un véhicule 4X4 Nissan Xterra de couleur blanche.
Le plaignant n'est personne d'autre que le voisin du chanteur. En visite hier à la rédaction de Walf Grand-Place, Guèye crie au voleur. «J'importe des véhicules des Etats-Unis. Mame Goor Mboup, qui habile le même immeuble que moi, m'a demandé de lui vendre un véhicule 4X4. Dans un premier temps, j'ai refusé, parce que soupçonnant cet individu n'avoir pas les moyens dacquérir le véhicule convoité, explique le plaignant tout en exhibant des procès-verbaux. Malgré mes réticences, il est revenu et s'est fait insistant, en me demandant de lui faire une promesse de vente qu'il a déposée auprès d'une banque.»
D'après cet homme d'affaires, Mame Goor reviendra trois semaines après pour lui donner un chèque de 5 millions francs. Et le client et le vendeur étaient tombés d'accord sur un versement mensuel de 150.000 francs. Ce que le chanteur respectera cinq mois consécutifs. Puis, plus de versement de traite. «Depuis août 2008, il ne paye plus. Il me demande d'attendre qu'on lui paye ses droits d'auteur ou qu'il voyage », révèle Guèye qui maintient que l'artiste lui doit 2 millions 510.000 francs.
Las de courir derrière son débiteur, le créancier lui sert une sommation interpellative. Mame Goor refuse, de répondre. Le 22 décembre 2008, informe-t-il, «j'ai porté plainte contre lui pour escroquerie à la gendarmerie de Yarakh. Après, je l'ai assigné au tribunal. J'attends toujours mon argent. Et ce truand refuse de me le restituer.»
MAME GOOR DIAZAKA : «C'est lui qui a eu des problèmes et j'ai voulu l'aider »
Joint au téléphone, Mame Goor Mboup nie les accusations de celui qu'il traite de «menteur à problème.» Sans sourciller, Diazaka assène : «c'est un soûlard. Je n'ai pas besoin de son argent ni de sa voiture. J'ai garé un Audi et un Honda chez moi. C'est mon voisin et il avait des problèmes avec sa femme qu'il avait battue. Lorsque le tribunal l'a contraint à payer une amende, il est venu me proposer de me vendre le véhicule. Je lui ai fait un chèque de 5 millions. Sans compter les 1.50.000 francs que je lui donnais des mois durant. Sans compter la vignette que j'ai acquittée à 140.000 francs.»
Où se situe le problème alors ? Mame Goor indique que c'est au mois de Ramadan, qui coincide avec les vacances pour les artistes, que «je lui ai demandé de patienter. Le mois suivant, il a exigé que je lui fasse trois versements. J'ai dit niet. Il a voulu confisquer ma carte grise. Je m’y suis opposé. Je ne refuse pas de payer. Seulement, je précise que je ne lui dois qu'1 million 400 ou 600.000 francs. J'attends la décision de justice pour les lui donner. Les gens me connaissent, je ne dois rien à personne.»
Ndèye Awa LO
Source Walf Grand Place