
Le président Wade sait, plus que quiconque, eu égard à son age et de son expérience, que l’indépendance énergétique de l’Afrique passe par l’exploitation des sources d’énergie non renouvelables. Le Sénégal, qu’il dirige, est ensoleillé 3000 heures par an. C’est ce qui fait que le continent est annuellement couru par des millions de touristes, particulièrement en hiver. Il a en conséquence invité la communauté internationale à doter l’Afrique d’une centrale solaire de 1000 méga watts. Pour convaincre, sans études, il a soutenu que celle-ci pourra diminuer d’un 1/3 ses prix, au bout d’un an, avant d’offrir l’énergie gratuitement, après un fonctionnement sur dix ans. En vérité le président Wade bluffait. Car, en dépit d’imposer le monopole dans son pays de la société d’électricité du Sénégal (Senelec), héritée des colons, soucieux de profits que leur assure la commercialisation du fluctuant et coûteux baril de pétrole, qui participe au réchauffement de la planète Terre, il tient, vaille que vaille à maintenir cette entreprise, qui spolie les Sénégalais.
Wade a fait sa sortie, médiatisée, à Copenhague pour que ses compatriotes oublient que la hausse du prix de l’électricité, officiellement arrêtée à 8%, a galopé au-delà. Il veut faire masquer que Manantali, dont dépend , en partie, la Senelec, a baissé sa production en direction du Sénégal. Il ne veut pas que l’on ébruite que la panne des groupes électrogènes de la Senelec a engendré une baisse de production de 47 méga watts. C’est ce qui fait que les délestages recommencent de plus bel. Le président Wade, qui avait promis qu’elles finiront le 15 octobre de l’an 2006, ne veut pas qu’on sache qu’il ne veut pas d’énergie solaire. Car celle-ci dévalorisera son ministre de l’Énergie Samuel Sarr, un mal-aimé qui le tient au collet.
Les sources d’énergie non renouvelables, n’arrangent pas le président Wade, parce que candidat à sa propre succession, il tient à ce que Samuel Sarr accentue les ponctions lombaires qu’il se plaît à faire sur le dos du contribuable sénégalais, pour augmenter son budget de campagne. Wade a leurré les participants au sommet de Copenhague, pour cacher que son régime est aux abois. Par sa proposition, il veut bénéficier, à titre personnel, des milliards de la communauté internationale. Ceux qu’il avait récoltés dans son projet de réparer la « « fracture numérique », il les a détournés. Ceux consacrés au Nepad, également. Il a visionné aux participants l’avancée de sa Grande muraille verte, pendant que sa Grande offensive agricole pour la nourriture et l’abondance (Goana) bat tellement de l’aile, qu’il a cherché à le cacher, en lançant sa seconde phase sans bilan de la première.
Wade a agité sa centrale solaire, pour disposer de plus de milliards, pour tenter de briguer un troisième mandat à la tête du Sénégal, qu’il saigne et humilie depuis neuf ans. Mais, l’arroseur risque d’être l’arrosé.
La Redaction
Wade a fait sa sortie, médiatisée, à Copenhague pour que ses compatriotes oublient que la hausse du prix de l’électricité, officiellement arrêtée à 8%, a galopé au-delà. Il veut faire masquer que Manantali, dont dépend , en partie, la Senelec, a baissé sa production en direction du Sénégal. Il ne veut pas que l’on ébruite que la panne des groupes électrogènes de la Senelec a engendré une baisse de production de 47 méga watts. C’est ce qui fait que les délestages recommencent de plus bel. Le président Wade, qui avait promis qu’elles finiront le 15 octobre de l’an 2006, ne veut pas qu’on sache qu’il ne veut pas d’énergie solaire. Car celle-ci dévalorisera son ministre de l’Énergie Samuel Sarr, un mal-aimé qui le tient au collet.
Les sources d’énergie non renouvelables, n’arrangent pas le président Wade, parce que candidat à sa propre succession, il tient à ce que Samuel Sarr accentue les ponctions lombaires qu’il se plaît à faire sur le dos du contribuable sénégalais, pour augmenter son budget de campagne. Wade a leurré les participants au sommet de Copenhague, pour cacher que son régime est aux abois. Par sa proposition, il veut bénéficier, à titre personnel, des milliards de la communauté internationale. Ceux qu’il avait récoltés dans son projet de réparer la « « fracture numérique », il les a détournés. Ceux consacrés au Nepad, également. Il a visionné aux participants l’avancée de sa Grande muraille verte, pendant que sa Grande offensive agricole pour la nourriture et l’abondance (Goana) bat tellement de l’aile, qu’il a cherché à le cacher, en lançant sa seconde phase sans bilan de la première.
Wade a agité sa centrale solaire, pour disposer de plus de milliards, pour tenter de briguer un troisième mandat à la tête du Sénégal, qu’il saigne et humilie depuis neuf ans. Mais, l’arroseur risque d’être l’arrosé.
La Redaction