
SUDATEL a mis sur la table 200 millions de dollars contre 152 millions de dollars et 105 de la même monnaie proposés respectivement par BINTEL et BINTEL, deux autres soumissionnaires dont les dossiers ont été examinés par la commission AD Hoc mise en place par l’ARTP, a précisé M. Seck dans un entretien exclusif accordé à l’APS. Ces trois soumissionnaires avaient déposé dans les délais fixés leurs offres fermes qui comprenaient une expression de la soumission en langue française, un dossier technique, un dossier économique et financier et un dossier juridique.
Avec une technicité comparable pour les trois opérateurs, SUDATEL a fait la différence au niveau de l’offre économique et financier avec 200 millions de dollars contre respectivement 152 millions de dollars (BINTEL) et 105 millions de la même monnaie (CELTEL), a indiqué le patron de l’ARTP précisant qu’au nombre des sociétés qui s’étaient manifestées auprès des autorités sénégalaises figurent aussi BELGACOM et COMIUM AFRICA.
Faisant ressortir l’importance de la somme proposée par SUDATEL, le Directeur Général de l’ARTP a rappelé, à cet égard, que la dernière licence accordée en 1998 à SENETEL l’a été pour un montant de 100.000 dollars soit 50 millions de F.CFA .
Pour parvenir à ce résultat, le gouvernement sénégalais s’était attaché deux conseillers sur les plans financier et juridique. Il s’agit notamment de la Banque d’affaires ROTHSCHILD et du cabinet juridique CLIFFORD CHANCE, a-t-il indiqué rappelant que le Sénégal avait en janvier 2005 lancé un appel à la concurrence ’’en vue du choix d’un nouvel opérateur qui disposera d’une licence globale lui permettant d’opérer sur tous les segments du marché des télécommunications’’.
Le gouvernement du Sénégal a demandé à l’opérateur adjudicataire que 15 pour cent du capital soient réservés aux opérateurs nationaux. Et fort de cet engagement du SUDATEL, le Directeur général de l’ARTP a lancé un appel "aux opérateurs sénégalais d’entrer dans le capital du nouvel opérateur’’.
Source: APS / African global news
Avec une technicité comparable pour les trois opérateurs, SUDATEL a fait la différence au niveau de l’offre économique et financier avec 200 millions de dollars contre respectivement 152 millions de dollars (BINTEL) et 105 millions de la même monnaie (CELTEL), a indiqué le patron de l’ARTP précisant qu’au nombre des sociétés qui s’étaient manifestées auprès des autorités sénégalaises figurent aussi BELGACOM et COMIUM AFRICA.
Faisant ressortir l’importance de la somme proposée par SUDATEL, le Directeur Général de l’ARTP a rappelé, à cet égard, que la dernière licence accordée en 1998 à SENETEL l’a été pour un montant de 100.000 dollars soit 50 millions de F.CFA .
Pour parvenir à ce résultat, le gouvernement sénégalais s’était attaché deux conseillers sur les plans financier et juridique. Il s’agit notamment de la Banque d’affaires ROTHSCHILD et du cabinet juridique CLIFFORD CHANCE, a-t-il indiqué rappelant que le Sénégal avait en janvier 2005 lancé un appel à la concurrence ’’en vue du choix d’un nouvel opérateur qui disposera d’une licence globale lui permettant d’opérer sur tous les segments du marché des télécommunications’’.
Le gouvernement du Sénégal a demandé à l’opérateur adjudicataire que 15 pour cent du capital soient réservés aux opérateurs nationaux. Et fort de cet engagement du SUDATEL, le Directeur général de l’ARTP a lancé un appel "aux opérateurs sénégalais d’entrer dans le capital du nouvel opérateur’’.
Source: APS / African global news