
Karim annonce la couleur, en misant sur la construction de 1500 kilomètres de routes et 15 échangeurs. Son dada, ce sont les constructions. Il avait surfacturé tous les travaux de la Corniche, poussant le bouchon jusqu’à chiffrer le tunnel de Soumbédioune à 10 milliards de francs Cfa, et le petit rond-point de la mosquée de la Divinité à 50 millions de nos francs. C’est dire qu’avec l’Anat, ses gains vont bien croître, quand on sait que 20 % de 1500 milliards font, c'est au bas mot, 300 milliards de nos francs.
En plus, c’est connu, le prétexte des distances pour le transport des matériaux, les reliefs difficiles ou encore la nature des sols sont autant de justificatifs qui pourront servir à gonfler les factures. Le fils du président tape dans le mille, parce que le secteur des Btp est le plus rapide pour s’enrichir, sans traces. Karim l’a vérifié, sa mère, Viviane Vert, actionnaire dans Eiffage peut le confirmer. Il va de soi que les entreprises sous son contrôle seront les plus gâtées. Celles des Sénégalais, comme Jean Lefevre Sénégal de Bara Tall, qu’il cherche à mettre à genoux, pourraient bien être laissées en rade. Mais, Wade, critiqué d’avoir asphyxier les entreprises sénégalaises, pourrait bien se raviser. Il se doit de le faire, pour qui sait que les 1 500 kilomètres de routes, que son fils ambitionne de construire, pour 1 500 milliards de francs Cfa, doivent surtout profiter à l’économie sénégalaise. Ce qui passe par ses entrepreneurs.
Mais, Karim semble s’entêter et tient toujours aux entreprises qui se plient à ses conditions : percevoir la moitié de la facture établie. Ce qui n’engagera que l’entrepreneur, en cas de pépins. C’est dire qu’il n’y aura pas seulement à se plaindre de l’argent du contribuable sénégalais, qui sera dévalisé. Il faudra également craindre pour la sécurité des usagers des « routes et échangeurs de Karim ». Car son tunnel suinte de partout, et reste exigu. Les routes de l’Anoci ne sont pas encore prêtes, presque deux ans après la tenue du sommet de l’Oci. Karim récidivera avec l’Anat. C’est sûr ! De l’argent, encore et toujours de l’argent : c’est sa seule planche de salut, pour aider son père à rester au pouvoir.
La Redaction
En plus, c’est connu, le prétexte des distances pour le transport des matériaux, les reliefs difficiles ou encore la nature des sols sont autant de justificatifs qui pourront servir à gonfler les factures. Le fils du président tape dans le mille, parce que le secteur des Btp est le plus rapide pour s’enrichir, sans traces. Karim l’a vérifié, sa mère, Viviane Vert, actionnaire dans Eiffage peut le confirmer. Il va de soi que les entreprises sous son contrôle seront les plus gâtées. Celles des Sénégalais, comme Jean Lefevre Sénégal de Bara Tall, qu’il cherche à mettre à genoux, pourraient bien être laissées en rade. Mais, Wade, critiqué d’avoir asphyxier les entreprises sénégalaises, pourrait bien se raviser. Il se doit de le faire, pour qui sait que les 1 500 kilomètres de routes, que son fils ambitionne de construire, pour 1 500 milliards de francs Cfa, doivent surtout profiter à l’économie sénégalaise. Ce qui passe par ses entrepreneurs.
Mais, Karim semble s’entêter et tient toujours aux entreprises qui se plient à ses conditions : percevoir la moitié de la facture établie. Ce qui n’engagera que l’entrepreneur, en cas de pépins. C’est dire qu’il n’y aura pas seulement à se plaindre de l’argent du contribuable sénégalais, qui sera dévalisé. Il faudra également craindre pour la sécurité des usagers des « routes et échangeurs de Karim ». Car son tunnel suinte de partout, et reste exigu. Les routes de l’Anoci ne sont pas encore prêtes, presque deux ans après la tenue du sommet de l’Oci. Karim récidivera avec l’Anat. C’est sûr ! De l’argent, encore et toujours de l’argent : c’est sa seule planche de salut, pour aider son père à rester au pouvoir.
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