
Combien fut grande notre surprise lorsque notre propagandiste en chef (qui fut nommément cité comme étant commanditaire) ne fut nullement inquiété et que grâce fut accordée aux « bleuets ».
Ainsi donc l’histoire a donné raison à EL Malick. La rhétorique hégélienne postule que lorsque l’histoire a raison sur la raison c’est toujours pour de mauvaises raisons. Nous n’enfoncerons pas les portes déjà ouvertes des rapports entre Roi et Valet pour dénicher les raisons à l’origine de cette clémence mais gageons qu’elles soient des plus mauvaises.
Au demeurant, cela ramène les derniers sceptiques, dont votre serviteur, à la dure réalité de l’impunité au Sénégal.
Nous ne voulons pas parler de cette impunité politique qui assure aux tenants actuels d’un pouvoir électif ou nominatif, une immunité future quel que fut leur mode de gouvernance et de gestion : certains demandent même à d’autres de partir la tête haute. Entre amis « Dakarois » c’est la moindre des choses.
Nous ne voulons pas parler de cette impunité économique qui permet à des « générations de constructeurs » (Maître dixit) d’effectuer des montages institutionnels et financiers et des pratiques affairistes indignes sans risques majeurs sinon gravir les marches menant à la station présidentielle. Entre père, fils et frères libéraux c’est la moindre des choses.
Non ! nous voulons parler de cette impunité que nous ressentons sans la toucher, que nous vivons sans la voir, qui concerne Vous, moi, Nous Tous, bref ce sentiment d’impunité qui nous enveloppe à chaque fois qu’éclate une nouvelle affaire impliquant le Roi, les « fous » du Roi ou les cavalier « bleus ».
Ce sentiment d’impunité qui n’est pas le fruit d’une absence de règles ou d'absence d'application de celles-ci mais le résultat de la volonté politique d'un gouvernement qui, soumis aux pressions de groupes et lobbies puissants, légitime en quelque sorte, par une loi d'amnistie, ou par des actes de grâce, les violations des droits de l'homme qu'ils commettent.
Que nos propos soient clairs : nous ne remettons en cause ni la légalité des Grâces présidentielles encore moins celle de la loi d’amnistie générale dite Ezzan.
Source Siweul.com
Ainsi donc l’histoire a donné raison à EL Malick. La rhétorique hégélienne postule que lorsque l’histoire a raison sur la raison c’est toujours pour de mauvaises raisons. Nous n’enfoncerons pas les portes déjà ouvertes des rapports entre Roi et Valet pour dénicher les raisons à l’origine de cette clémence mais gageons qu’elles soient des plus mauvaises.
Au demeurant, cela ramène les derniers sceptiques, dont votre serviteur, à la dure réalité de l’impunité au Sénégal.
Nous ne voulons pas parler de cette impunité politique qui assure aux tenants actuels d’un pouvoir électif ou nominatif, une immunité future quel que fut leur mode de gouvernance et de gestion : certains demandent même à d’autres de partir la tête haute. Entre amis « Dakarois » c’est la moindre des choses.
Nous ne voulons pas parler de cette impunité économique qui permet à des « générations de constructeurs » (Maître dixit) d’effectuer des montages institutionnels et financiers et des pratiques affairistes indignes sans risques majeurs sinon gravir les marches menant à la station présidentielle. Entre père, fils et frères libéraux c’est la moindre des choses.
Non ! nous voulons parler de cette impunité que nous ressentons sans la toucher, que nous vivons sans la voir, qui concerne Vous, moi, Nous Tous, bref ce sentiment d’impunité qui nous enveloppe à chaque fois qu’éclate une nouvelle affaire impliquant le Roi, les « fous » du Roi ou les cavalier « bleus ».
Ce sentiment d’impunité qui n’est pas le fruit d’une absence de règles ou d'absence d'application de celles-ci mais le résultat de la volonté politique d'un gouvernement qui, soumis aux pressions de groupes et lobbies puissants, légitime en quelque sorte, par une loi d'amnistie, ou par des actes de grâce, les violations des droits de l'homme qu'ils commettent.
Que nos propos soient clairs : nous ne remettons en cause ni la légalité des Grâces présidentielles encore moins celle de la loi d’amnistie générale dite Ezzan.
Source Siweul.com