
Cette rencontre fait suite au séminaire national sur la lutte contre la contrefaçon et la piraterie organisée à Dakar en novembre 2006 et s’inscrit dans la dynamique du séminaire en deux phases portant sur le même thème qui s’est tenue au Burkina Faso et au Sénégal du 11 au 16 mars dernier. Il entre dans le cadre du programme d’actions national et sous régional de lutte contre la contrefaçon et la piraterie pour parer "aux préjudices incommensurables causés par la commercialisation des marchandises contrefaites et piratées aux fabricants et négociants qui respectent la loi, ainsi qu’aux titulaires de droits qui investissent dans l’innovation et la créativité", dira le Colonel Jean Jacques Armand Nanga, directeur général des douanes sénégalaises.
Les technologies high tech utilisées par l’industrie du faux "qui innove et crée constamment", leur menace sur la santé publique et l’environnement, les énormes préjudices qu’elle porte au trésor public et à l’économie… sont autant de raisons qui justifient "une riposte à la mesure lancée par cette nouvelle forme de criminalité transnationale ", dira M. Nanga.
Cela suppose ainsi "une opposition énergique à la consommation de marchandises, objet de cette activité déloyale, irrespectueuse des droits de propriété intellectuelle liés au commerce, sans toutefois entraver la liberté du commerce", a-t-il poursuivi. D’où l’urgence de la mise en oeuvre "de mécanismes juridiques des droits de la propriété intellectuelle par une description exhaustive et permanente des produits authentiques". Dans le même registre, la mise en place d’un partenariat franc et dynamique entre les secteurs public et privé serait un plus pour une "meilleure coordination des efforts et des stratégies de lutte contre la contrefaçon des cigarettes qui constitue une infraction criminelle grave".
Auparavant, le directeur des relations institutionnelles et de la réglementation pour la zone Afrique de l’ouest et du centre du groupe British American Tobacco (Bat) a salué l’accueil qui a été réservé à leur initiative. À l’en croire, le but visé est de "renforcer les capacités opérationnelles douanières des pays de l’espace Uemoa en matière de traitement du commerce illicite en général et de détection des produits de contrefaçon en particulier en les dotant davantage de technicité pour appréhender, détecter et sanctionner les contrefacteurs".
Source: Sud QUotidien
Les technologies high tech utilisées par l’industrie du faux "qui innove et crée constamment", leur menace sur la santé publique et l’environnement, les énormes préjudices qu’elle porte au trésor public et à l’économie… sont autant de raisons qui justifient "une riposte à la mesure lancée par cette nouvelle forme de criminalité transnationale ", dira M. Nanga.
Cela suppose ainsi "une opposition énergique à la consommation de marchandises, objet de cette activité déloyale, irrespectueuse des droits de propriété intellectuelle liés au commerce, sans toutefois entraver la liberté du commerce", a-t-il poursuivi. D’où l’urgence de la mise en oeuvre "de mécanismes juridiques des droits de la propriété intellectuelle par une description exhaustive et permanente des produits authentiques". Dans le même registre, la mise en place d’un partenariat franc et dynamique entre les secteurs public et privé serait un plus pour une "meilleure coordination des efforts et des stratégies de lutte contre la contrefaçon des cigarettes qui constitue une infraction criminelle grave".
Auparavant, le directeur des relations institutionnelles et de la réglementation pour la zone Afrique de l’ouest et du centre du groupe British American Tobacco (Bat) a salué l’accueil qui a été réservé à leur initiative. À l’en croire, le but visé est de "renforcer les capacités opérationnelles douanières des pays de l’espace Uemoa en matière de traitement du commerce illicite en général et de détection des produits de contrefaçon en particulier en les dotant davantage de technicité pour appréhender, détecter et sanctionner les contrefacteurs".
Source: Sud QUotidien