
Neuf bâtiments seront érigés sur une partie de cette superficie dont le plus important est l’aérogare des passagers avec une capacité d’accueil de trois millions de voyageurs par an contre la moitié pour l’aéroport international Léopold Sédar Senghor de Dakar. Ce nombre sera porté à dix millions d’ici quelques années. La capacité de l’aéroport en matière de fret est estimée à 50.000 tonnes par an contre 25.000 tonnes pour L. S. Senghor. AIBD est doté également d’une tour de contrôle de 50 mètres permettant au contrôleur de voir les deux extrémités de la piste d’atterrissage et de décollage, longue de 3,5 km et large de 60 mètres. La piste, avec ses 44 positions et six passerelles télescopiques, peut ainsi accueillir tous les avions actuellement en circulation dans le monde jusqu’à l’Airbus A 380.
Outres ces infrastructures, l’aéroport international de Diass dont la construction sera achevée en septembre 2010, bénéficiera d’une station de sécurité qui permet de faire face à tout incident en moins de deux minutes conformément aux normes internationales.
D’un coût total de 237 milliards de FCFA, AIBD sera en outre pourvu de voies de circulation, d’accès et de sortie longues de 62 km.
Les chantiers emploient présentement 1600 agents dont 1500 Sénégalais, le reste étant des Egyptiens, des Marocains, des Philippins, des Saoudiens, et des Tunisiens.
Lancés en avril 2007 par le chef de l’Etat, les travaux de Diass ont permis à une dizaine de sociétés sénégalaises de signer des accords de sous-traitance avec Saudi Ben Laden Group (SBG), constructeur du projet.
Source: APS
Outres ces infrastructures, l’aéroport international de Diass dont la construction sera achevée en septembre 2010, bénéficiera d’une station de sécurité qui permet de faire face à tout incident en moins de deux minutes conformément aux normes internationales.
D’un coût total de 237 milliards de FCFA, AIBD sera en outre pourvu de voies de circulation, d’accès et de sortie longues de 62 km.
Les chantiers emploient présentement 1600 agents dont 1500 Sénégalais, le reste étant des Egyptiens, des Marocains, des Philippins, des Saoudiens, et des Tunisiens.
Lancés en avril 2007 par le chef de l’Etat, les travaux de Diass ont permis à une dizaine de sociétés sénégalaises de signer des accords de sous-traitance avec Saudi Ben Laden Group (SBG), constructeur du projet.
Source: APS