L'ETAT PREND DES MESURES D'URGENCE POUR HONORER LES DETTES DES HÔPITAUX :7 sur les 11 milliards déjà disponibles
Les dettes des hôpitaux estimés à 11 milliards seront prises en charge par l'Etat. L'annonce a été faite par le secrétaire général du ministère de la santé et de la prévention médicale, Moussa Mbaye. Ce dernier qui présidait l'ouverture officielle de l'assemblée Générale extraordinaire de l'Association Sénégalaise de Chirurgie (Asc), a souligné que "l'Etat va prendre en charge les dettes des hôpitaux qui s'élèvent à 11 milliards de francs Cfa".
"Les 7 milliards sont même déjà disponibles", a-t-il ajouté. Selon M. Mbaye, "cela fait parti des mesures d'urgence prises pour sauver les hôpitaux en difficulté". Revenant sur les doléances des chirurgiens, le secrétaire général a affirmé qu' "un programme est en cours et des directives seront prises pour augmenter les bourses des médecins candidats à la spécialisation en chirurgie".
Dans ce sillage, le président de l'Asc et par ailleurs chef du service de chirurgie généraliste, le Pr. Cheikh Tidiane Touré, de souligner que "le département de la santé doit davantage nous aider à former des chirurgiens nationaux parce que nous formons plus d'étrangers en ce moment". En plus de la nécessité de créer de nouvelles filières pour la pratique de la chirurgie, le Pr Touré a fustigé le fait que son service n'ait pas reçu d'aide publique depuis plus de dix ans.
Source: Le Matin
"Les 7 milliards sont même déjà disponibles", a-t-il ajouté. Selon M. Mbaye, "cela fait parti des mesures d'urgence prises pour sauver les hôpitaux en difficulté". Revenant sur les doléances des chirurgiens, le secrétaire général a affirmé qu' "un programme est en cours et des directives seront prises pour augmenter les bourses des médecins candidats à la spécialisation en chirurgie".
Dans ce sillage, le président de l'Asc et par ailleurs chef du service de chirurgie généraliste, le Pr. Cheikh Tidiane Touré, de souligner que "le département de la santé doit davantage nous aider à former des chirurgiens nationaux parce que nous formons plus d'étrangers en ce moment". En plus de la nécessité de créer de nouvelles filières pour la pratique de la chirurgie, le Pr Touré a fustigé le fait que son service n'ait pas reçu d'aide publique depuis plus de dix ans.
Source: Le Matin
