
‘’Si (le président) Wade avait la bonne information, il ne serait pas d’accord avec cette résolution de voir l’Etat sénégalais se retirer de l’ASECNA’’, a-t-il notamment dit Mbaye Niang, lors de l’assemblée générale du collectif des travailleurs sénégalais de l’ASECNA.
‘’On ne doit pas manipuler le chef d’Etat, car nous savons tous qu’il est un africaniste de grande envergure et très attaché à l’unité africaine’’ a-t-il ajouté.
Le collectif des travailleurs sénégalais de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) a tenu mercredi une assemblée générale pour protester contre la décision de l’Etat du Sénégal de reprendre la gestion de ses aéroports.
Le député du Mouvement de la Réforme pour le développement social (MRDS, opposition parlementaire) qui a fait une brève apparition au cours de l’assemblée générale du collectif des travailleurs sénégalais de l’ASECNA à exhorté ces derniers à ‘’continuer avec détermination’’ leur lutte.
‘’L’ASECNA doit demeurer car aujourd’hui c’est un véritable exemple d’intégration qui a fini de faire ses preuves dans la sous région. Il n’y a donc aucune raison de déstabiliser cette agence’’, a-t-il souligné.
Imam Mbaye Niang a déploré ‘’les positions unilatérales de l’Etat sénégalais’’, et soutient qu’un ‘’outil comme ASECNA, permet de fédérer les espaces aéronautiques et le Sénégal n’a aucune utilité à se singulariser par rapport à ça’’.
‘’Nous ne sommes pas pour cette crise, et je mènerai avec vous cette lutte pour que l’ASECNA demeure car nous avons tous remarqué que depuis que Farba Senghor (le ministre del’Artisanat et des Transports aériens) est là il n’y a que des problèmes dans cette agence’’, a indiqué le député.
Le ministre de l’Artisanat et des Transports aériens, Farba Senghor, avait déclaré il y a quelques jours que le Sénégal ne céderait plus à l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), les redevances de balisage et d’atterrissage estimées à 46 milliards de francs CFA par an.
Source: APS
‘’On ne doit pas manipuler le chef d’Etat, car nous savons tous qu’il est un africaniste de grande envergure et très attaché à l’unité africaine’’ a-t-il ajouté.
Le collectif des travailleurs sénégalais de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) a tenu mercredi une assemblée générale pour protester contre la décision de l’Etat du Sénégal de reprendre la gestion de ses aéroports.
Le député du Mouvement de la Réforme pour le développement social (MRDS, opposition parlementaire) qui a fait une brève apparition au cours de l’assemblée générale du collectif des travailleurs sénégalais de l’ASECNA à exhorté ces derniers à ‘’continuer avec détermination’’ leur lutte.
‘’L’ASECNA doit demeurer car aujourd’hui c’est un véritable exemple d’intégration qui a fini de faire ses preuves dans la sous région. Il n’y a donc aucune raison de déstabiliser cette agence’’, a-t-il souligné.
Imam Mbaye Niang a déploré ‘’les positions unilatérales de l’Etat sénégalais’’, et soutient qu’un ‘’outil comme ASECNA, permet de fédérer les espaces aéronautiques et le Sénégal n’a aucune utilité à se singulariser par rapport à ça’’.
‘’Nous ne sommes pas pour cette crise, et je mènerai avec vous cette lutte pour que l’ASECNA demeure car nous avons tous remarqué que depuis que Farba Senghor (le ministre del’Artisanat et des Transports aériens) est là il n’y a que des problèmes dans cette agence’’, a indiqué le député.
Le ministre de l’Artisanat et des Transports aériens, Farba Senghor, avait déclaré il y a quelques jours que le Sénégal ne céderait plus à l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), les redevances de balisage et d’atterrissage estimées à 46 milliards de francs CFA par an.
Source: APS