
Considéré comme un non Sénégalais, qui ignore tout de ce pays, notamment sa culture (l’argument étant qu’il ne parle pas wolof), le fils du président s’en défend.
«Certains croient que je suis un toubab, je connais bien mon pays. Je pense que les gens oublient que j’étais là en 2000 lors de la campagne électorale. Ce qui est évident, c’est que je vais surprendre les Sénégalais», dit Karim Wade, cité par le quotidien L’As.
Le leader de la Génération du Concret, par ailleurs, estime que la politique, telle que fait actuellement au Sénégal n’est pas difficile. «Je vais descendre sur le terrain politique, car c’est plus facile que de développer un pays. Cependant, je suis au parfum de ce qui se passe en politique ici. Je ne tiens pas à m’accompagner de politiciens qui font de la politique politicienne, je veux plutôt des hommes crédibles qui ont une base», sert-il à ses détracteurs.
Diarra Bousso
Source Kanal150.com
«Certains croient que je suis un toubab, je connais bien mon pays. Je pense que les gens oublient que j’étais là en 2000 lors de la campagne électorale. Ce qui est évident, c’est que je vais surprendre les Sénégalais», dit Karim Wade, cité par le quotidien L’As.
Le leader de la Génération du Concret, par ailleurs, estime que la politique, telle que fait actuellement au Sénégal n’est pas difficile. «Je vais descendre sur le terrain politique, car c’est plus facile que de développer un pays. Cependant, je suis au parfum de ce qui se passe en politique ici. Je ne tiens pas à m’accompagner de politiciens qui font de la politique politicienne, je veux plutôt des hommes crédibles qui ont une base», sert-il à ses détracteurs.
Diarra Bousso
Source Kanal150.com