
Si au bout de deux ans, ils ne satisfont pas à ces exigences mais font preuve de bonne volonté, ils auront une année de plus pour y parvenir. Si l’immigré commet des infractions ou délits, il perdra des points. Le ministre Maroni, issu du parti populiste et souvent anti-immigrés Ligue du Nord, a assuré que le permis de séjour à points avait été conçu "comme une aide à l’intégration et certainement pas comme une limite pour les citoyens extracommunautaires (non européens, ndlr) qui viennent en Italie pour travailler".
Source AFP/ Le Soleil
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