
Ismaël Lô dont c’était le deuxième morceau interprété après son titre culte ‘’Jammu Africa’’ faisait partie des musiciens, artistes et hommes de culture sénégalais invités à la soirée de gala offerte à l’occasion de l’invitation du chef de l’Etat par l’Association nationale des journalistes noirs (NABJ) de Chicago. L’un des temps forts de la manifestation fut toutefois la remise au chef de l’Etat du prix Award par la présidente de la NABJ, Barbara Ciera, en récompense à son combat contre la dégradation de l’environnement au Sénégal et en Afrique.
Le tout venait couronner la communication faite dans l’après-midi par Abdoulaye Wade sur la Grande muraille verte, un projet titanesque de reboisement d’arbres allant de Dakar à Djibouti et destiné principalement à stopper l’avancée du désert.
Pour saluer la première communication d’un chef d’Etat devant l’association des journalistes noirs de Chicago, un regroupement de 4.100 membres et présenté comme le plus grand des journalistes non blancs aux Etat-Unis, la culture sénégalaise s’est déployée avec fastes.
Ainsi, ravi de voir qu’il a fait bouger toute la salle, Ismaël Lô que le chef de l’Etat a appelé entre deux tours de chanson à venir s’asseoir à ses côtés lâche le sourire aux lèvres : ‘’vous avez vu vous-même, je n’ai demandé à personne de se lever pour danser. Ils l’ont fait spontanément’’.
Visiblement il plaît, Ismaël Lô, même s’il n’a pas pu pour des problèmes d’organisation dans lesquels il n’a rien à voir se produire avec son orchestre ‘’Les Pros’’, bien présent à Chicago. Félicité et prié de rester à ses cotés par le chef de l’Etat dés son premier play-back, le musicien explique que ce fut ‘’un honneur et un privilège’’ pour lui d’avoir été choisi pour chanter devant les journalistes noirs.
C’est en une semaine que tout a été ficelé, selon Ismaël Lô qui interrogé sur le pourquoi de l’ouverture de son tour de chant par ‘’Jammu Africa’’ relève que sûrement du fait de ce titre le chef de l’Etat lui dit souvent qu’il le considère ‘’comme le plus panafricaniste des musiciens sénégalais’’. ‘’Je pense que cela fait partie de ses morceaux favoris’’, a-t-il ajouté avant de révéler qu’une fois en Afrique du Sud le président algérien lui a confié qu’il écoute beaucoup ‘’Jammu Africa’’.
La styliste Collé Ardo Sow, venue avec sept de ses mannequins dont six filles et un garçon, a également gagné à l’applaudimètre et reçu les chaleureuses félicitations du chef de l’Etat. Appuyée par quatre mannequins recrutés sur place, ‘’la Reine du pagne tissé’’ a fait se lever plus d’une fois le public au passage ondoyant de ses modèles habillés des différentes formes de boubous sénégalais.
Une réussite pour une première aux Etats-Unis, car Collé qui souligne n’avoir ‘’que des félicitations’’ révèle que des invités à la soirée de gala venus de Washington l’ont contactée pour des commandes de modèles ‘’légèrement modifiés suivant leurs visions’’. D’où, souligne-t-elle avec détermination, ‘’les stylistes sénégalais ont leur place dans le marché’’ de la mode aux USA.
En attendant, c’est aux anges pour ne pas dire subjugués que les Américains ont suivi le tour de chant de la cantatrice Ma Hawa Kouyaté, accompagnée à la kora par l’un de ses proches, et la déclamation par Pape Faye d’un poème de Léopold Sedar Senghor sur New York. Auparavant c’est en duo qu’il avait ouvert la soirée sur une interprétation en français et en anglais de l’hymne de l’Afrique écrit par Abdoulaye Wade.
Source: APS
Le tout venait couronner la communication faite dans l’après-midi par Abdoulaye Wade sur la Grande muraille verte, un projet titanesque de reboisement d’arbres allant de Dakar à Djibouti et destiné principalement à stopper l’avancée du désert.
Pour saluer la première communication d’un chef d’Etat devant l’association des journalistes noirs de Chicago, un regroupement de 4.100 membres et présenté comme le plus grand des journalistes non blancs aux Etat-Unis, la culture sénégalaise s’est déployée avec fastes.
Ainsi, ravi de voir qu’il a fait bouger toute la salle, Ismaël Lô que le chef de l’Etat a appelé entre deux tours de chanson à venir s’asseoir à ses côtés lâche le sourire aux lèvres : ‘’vous avez vu vous-même, je n’ai demandé à personne de se lever pour danser. Ils l’ont fait spontanément’’.
Visiblement il plaît, Ismaël Lô, même s’il n’a pas pu pour des problèmes d’organisation dans lesquels il n’a rien à voir se produire avec son orchestre ‘’Les Pros’’, bien présent à Chicago. Félicité et prié de rester à ses cotés par le chef de l’Etat dés son premier play-back, le musicien explique que ce fut ‘’un honneur et un privilège’’ pour lui d’avoir été choisi pour chanter devant les journalistes noirs.
C’est en une semaine que tout a été ficelé, selon Ismaël Lô qui interrogé sur le pourquoi de l’ouverture de son tour de chant par ‘’Jammu Africa’’ relève que sûrement du fait de ce titre le chef de l’Etat lui dit souvent qu’il le considère ‘’comme le plus panafricaniste des musiciens sénégalais’’. ‘’Je pense que cela fait partie de ses morceaux favoris’’, a-t-il ajouté avant de révéler qu’une fois en Afrique du Sud le président algérien lui a confié qu’il écoute beaucoup ‘’Jammu Africa’’.
La styliste Collé Ardo Sow, venue avec sept de ses mannequins dont six filles et un garçon, a également gagné à l’applaudimètre et reçu les chaleureuses félicitations du chef de l’Etat. Appuyée par quatre mannequins recrutés sur place, ‘’la Reine du pagne tissé’’ a fait se lever plus d’une fois le public au passage ondoyant de ses modèles habillés des différentes formes de boubous sénégalais.
Une réussite pour une première aux Etats-Unis, car Collé qui souligne n’avoir ‘’que des félicitations’’ révèle que des invités à la soirée de gala venus de Washington l’ont contactée pour des commandes de modèles ‘’légèrement modifiés suivant leurs visions’’. D’où, souligne-t-elle avec détermination, ‘’les stylistes sénégalais ont leur place dans le marché’’ de la mode aux USA.
En attendant, c’est aux anges pour ne pas dire subjugués que les Américains ont suivi le tour de chant de la cantatrice Ma Hawa Kouyaté, accompagnée à la kora par l’un de ses proches, et la déclamation par Pape Faye d’un poème de Léopold Sedar Senghor sur New York. Auparavant c’est en duo qu’il avait ouvert la soirée sur une interprétation en français et en anglais de l’hymne de l’Afrique écrit par Abdoulaye Wade.
Source: APS