
Le pire est vecu dans les quartiers peripheriques comme Diallobougou, Gouye et plateau, Saré Guilél devenus inaccessibles, avec des routes coupées par les eaux de pluies. Idem au quartier Gourel Ponang et Abattoir complementaire . Devant le lit maraicageux du mamacounda qui divise la ville en deux , qui gonfle, les populations vivent dans la psychose de voir le cours d'eau sortir de son lit. Au populeux quartier Pont oû le pont se trouvant derriere l'ancien cinema, n'est toujours pas réhabilité, les populations ont dû pataugé pour traverser. Cette situation a entrainé l'isolement des populations qui habitent ces localités dont les maisons et les chambres ont reçu les âffres des fortes précipitations. Les ravins qui les entourent étant remplis et plusieurs maisons sont sous les eaux. Certains habitants vivent dans la hantise de voir des maladies comme le paludisme et le cholera proliferer si des solutions d'urgence ne sont pas adoptées. S'y ajoutent, des établissements qui ne sont pas épargnés en cette veille d'examens . Certaines cours se sont transformées en une petite lagune au grand bonheur des crapauds qui y vivent tranquillement. Encore que le ciel n'a pas dit son dernier mot. Dans cette ambiance de désolation, les paysans ont toutesfois de quoi se frotter les mains.
Source: Tambacounda.info
Source: Tambacounda.info