
Selon la cellule de communication pilotée par Serigne Cheikhouna Mbacké, fils du khalif, « le projet d’implantation d’écoles publiques françaises à Touba, selon le modèle classique qui existe actuellement au Sénégal, a été rejeté par le Khalife Général des mourides. En effet, ce modèle ne répond pas aux préceptes de l’islam, encore moins aux enseignements du fondateur du mouridisme ».
La cellule précise aussi que le type d’écoles à envisager pour la ville sainte de Touba, a déjà fait l’objet d’études sérieuses « qui ont permis de confectionner des programmes mieux adaptés, conçus pour les différents cycles de formation par les spécialistes de l’éducation de la Communauté, selon les normes pédagogiques universellement reconnues ».
Tout en rappelant que le magistère de Serigne Bara Fallilou s’inscrit dans la voie tracée par ses prédécesseurs, Serigne Cheikhouna et compagnie attirent l’attention sur le fait qu’il ne s’agit point d’un rejet catégorique de l’école française à Touba, « mais d’un refus de transposition du modèle de l’école française qui ne s’adapte pas, au statut spécial de la ville sainte de Touba ».
Source Nettali
La cellule précise aussi que le type d’écoles à envisager pour la ville sainte de Touba, a déjà fait l’objet d’études sérieuses « qui ont permis de confectionner des programmes mieux adaptés, conçus pour les différents cycles de formation par les spécialistes de l’éducation de la Communauté, selon les normes pédagogiques universellement reconnues ».
Tout en rappelant que le magistère de Serigne Bara Fallilou s’inscrit dans la voie tracée par ses prédécesseurs, Serigne Cheikhouna et compagnie attirent l’attention sur le fait qu’il ne s’agit point d’un rejet catégorique de l’école française à Touba, « mais d’un refus de transposition du modèle de l’école française qui ne s’adapte pas, au statut spécial de la ville sainte de Touba ».
Source Nettali