
Depuis lundi 09 juin, le personnel du Centre National de Transfusion Sanguine (Cnts) est en grève. Il menace de ne pas prendre part à la journée mondiale de don de sang du samedi 14 juin 2008. Le Cnts en grève, ce sont toutes les structures sanitaires qui se retrouvent sans sang. L’objet de leur courroux est une « faute » qui a altéré les termes de référence du règlement de la session des produites sanguines. Depuis 2006, en effet, le ministère de la santé s’est substitué aux hôpitaux pour le remboursement du coût des poches sanguines livrées par le Cnts.
Sur les factures, il était bel et bien libellé « remboursement de la session des produits sanguins ». Mais cette année, la facture du règlement est libellée « subvention de la session des produits sanguins ». Ce qui est une faute que les membres du Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (Sutsas) où est affilié le personnel du Cnts exige qu’elle soit corrigée par les autorités.
Or, depuis qu’ils le déplorent, rien n’a été fait. Raison pour laquelle, ils sont passé à la vitesse supérieure. Ils comptent poursuivre la lutte jusqu’à la satisfaction de leur revendication et sont prêts à aller jusqu’au boycott de la journée mondiale de don de sang prévue ce samedi 14 juin 2008. Au grand malheur des opérations en urgence.
Source: Nettali
Sur les factures, il était bel et bien libellé « remboursement de la session des produits sanguins ». Mais cette année, la facture du règlement est libellée « subvention de la session des produits sanguins ». Ce qui est une faute que les membres du Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (Sutsas) où est affilié le personnel du Cnts exige qu’elle soit corrigée par les autorités.
Or, depuis qu’ils le déplorent, rien n’a été fait. Raison pour laquelle, ils sont passé à la vitesse supérieure. Ils comptent poursuivre la lutte jusqu’à la satisfaction de leur revendication et sont prêts à aller jusqu’au boycott de la journée mondiale de don de sang prévue ce samedi 14 juin 2008. Au grand malheur des opérations en urgence.
Source: Nettali