
Le président de la République, qui recevait les cahiers de doléances des centrales syndicales, a affirmé la ’’bonne volonté’’ du gouvernement à poursuivre le dialogue afin d’aboutir à ’’une solution définitive’’. Me Abdoulaye Wade qui a instruit son Premier ministre pour recevoir ces syndicats à l’occasion de la fête internationale du travail, a appelé à des ‘’assises sur le statut de l’enseignant’’ avant d’en arriver aux assises sur le ‘’système éducatif’’.
’’L’enseignant a besoin d’un minimum de choses (…). Il doit se débarrasser de la hantise du repas de midi’’, a plaidé le chef de l’Etat en présence du Premier ministre, Cheikh Hadjibou Soumaré, du ministre du Travail Innocence Ntap Ndiaye et d’autres membres du gouvernement et du patronat.
Les représentants de 18 centrales syndicales ont présenté, jeudi, leurs cahiers de doléances au président de la République. Ces revendications ont été principalement axées sur le renchérissement du coût de la vie, le sauvetage des entreprises en difficulté et le blocage du dialogue entre les partenaires sociaux.
L’Etat va ’’tout faire’’ devant la situation sociale difficile, a promis Abdoulaye Wade car c’est une ’’obligation de protéger les populations’’.
Me Wade, qui a invité les travailleurs à s’investir dans la réalisation de la Grande offensive pour la nourriture et l’abondance (GOANA), a une nouvelle fois critiqué les ONG qui ’’collectent de l’argent sur le dos de l’Afrique’’.
Le chef de l’Etat a souligné la nécessité d’une ’’gestion des cahiers de doléances’’ et invité le Premier ministre à arrêter un chronogramme devant aboutir à la tenue des élections de représentativité syndicale fortement demandées par des syndicats.
APS
’’L’enseignant a besoin d’un minimum de choses (…). Il doit se débarrasser de la hantise du repas de midi’’, a plaidé le chef de l’Etat en présence du Premier ministre, Cheikh Hadjibou Soumaré, du ministre du Travail Innocence Ntap Ndiaye et d’autres membres du gouvernement et du patronat.
Les représentants de 18 centrales syndicales ont présenté, jeudi, leurs cahiers de doléances au président de la République. Ces revendications ont été principalement axées sur le renchérissement du coût de la vie, le sauvetage des entreprises en difficulté et le blocage du dialogue entre les partenaires sociaux.
L’Etat va ’’tout faire’’ devant la situation sociale difficile, a promis Abdoulaye Wade car c’est une ’’obligation de protéger les populations’’.
Me Wade, qui a invité les travailleurs à s’investir dans la réalisation de la Grande offensive pour la nourriture et l’abondance (GOANA), a une nouvelle fois critiqué les ONG qui ’’collectent de l’argent sur le dos de l’Afrique’’.
Le chef de l’Etat a souligné la nécessité d’une ’’gestion des cahiers de doléances’’ et invité le Premier ministre à arrêter un chronogramme devant aboutir à la tenue des élections de représentativité syndicale fortement demandées par des syndicats.
APS