NUCLÉAIRE IRANIEN
Et si l'accord sur le nucléaire iranien était sauvable ? C'est en tout cas l'intention de la Russie, et aussi de l'Iran, alors que l'administration Biden doit décider si les Etats-Unis reviennent dans ce texte-clé, que Donald Trump avait dénoncé, avant de renforcer les sanctions économiques contre Téhéran, au grand dam des parties prenantes de l'accord. La république islamique était alors à son tour revenue sur ses engagements en reprenant son programme d'enrichissement du nucléaire, suscitant une succession de tensions dans la région.
"Un thème particulièrement d'actualité est celui de sauver l'accord et nous, comme l'Iran, souhaitons un retour à sa mise en œuvre pleine et entière", a assuré Sergueï Lavrov en compagnie de son homologue iranien Mohammad Javad Zarif. Voilà qui pourrait en tout cas inciter les Etats-Unis à accélérer leur calendrier, alors que Biden a d'ores et déjà annoncé qu'il souhaitait revenir dans l'accord. Et mettre la pression sur la partie la plus anti-américaine du pouvoir iranien, incarnée par le parlement et l'ayatollah, partisans d'un durcissement du dialogue.
LCI
Et si l'accord sur le nucléaire iranien était sauvable ? C'est en tout cas l'intention de la Russie, et aussi de l'Iran, alors que l'administration Biden doit décider si les Etats-Unis reviennent dans ce texte-clé, que Donald Trump avait dénoncé, avant de renforcer les sanctions économiques contre Téhéran, au grand dam des parties prenantes de l'accord. La république islamique était alors à son tour revenue sur ses engagements en reprenant son programme d'enrichissement du nucléaire, suscitant une succession de tensions dans la région.
"Un thème particulièrement d'actualité est celui de sauver l'accord et nous, comme l'Iran, souhaitons un retour à sa mise en œuvre pleine et entière", a assuré Sergueï Lavrov en compagnie de son homologue iranien Mohammad Javad Zarif. Voilà qui pourrait en tout cas inciter les Etats-Unis à accélérer leur calendrier, alors que Biden a d'ores et déjà annoncé qu'il souhaitait revenir dans l'accord. Et mettre la pression sur la partie la plus anti-américaine du pouvoir iranien, incarnée par le parlement et l'ayatollah, partisans d'un durcissement du dialogue.
LCI