CAMPER SUR SES POSITIONS
L'administration Biden refuse de diviser par trois son plan de sauvetage de l'économie, comme le demandent une partie des élus républicains au terme d'une réunion entre le président américain et ces derniers.
L'enveloppe totale du plan d'aide devrait donc rester proche des 1.900 milliards de dollars voulus par Joe Biden, et non à 600 milliards comme le proposent les républicains modérés.
Cette négociation a valeur de test pour la nouvelle administration démocrate, qui a constamment mis en avant, pendant la campagne présidentielle, sa volonté de gouverner dans un esprit d'ouverture avec le parti républicain notamment. Sur le plan d'aide, l'objectif est d'obtenir un accord bipartisan.
IMMIGRATION
Nouvelle mesure de détricotage de l'ère Trump. Joe Biden a demandé mardi 2 février à son gouvernement de faciliter la naturalisation des neuf millions de migrants éligibles à la citoyenneté américaine. Cette consigne figurera dans une série de décrets sur l'immigration que le nouveau président doit signer dans la journée.
Comme il l'avait annoncé il y a quelques semaines, Téhéran s'est engagé dans l'enrichissement de son uranium à 20%, a relevé l'Onu dans un rapport dévoilé ce mardi par Reuters. Un événement qui se produit alors que les Etats-Unis ont publiquement fait part de leur intention de revenir dans l'accord sur le nucléaire de la République islamique, si tant est que cette dernière revienne sur ses dernières violations de l'accord.
Pendant ce temps-là, l'UE a annoncé de son côté qu'elle travaillait "dur" avec l'administration américaine pour obtenir la levée des sanctions imposées par les Etats-Unis, seule clé susceptible d'inciter Téhéran à lâcher son programme d'enrichissement d'uranium. Mohammad Javad Zarif, avait incité la veille l'UE à "chorégraphier les mesures qui doivent être prises par les Etats-Unis et les mesures qui doivent être prises par l'Iran".
De multiples observateurs ont manifesté leur surpris en découvrant le nom de certains prétendants au Prix Nobel de la paix, ne comprenant pas les choix du comité. Logique : il ne se charge pas des nominations.
lci.fr
L'administration Biden refuse de diviser par trois son plan de sauvetage de l'économie, comme le demandent une partie des élus républicains au terme d'une réunion entre le président américain et ces derniers.
L'enveloppe totale du plan d'aide devrait donc rester proche des 1.900 milliards de dollars voulus par Joe Biden, et non à 600 milliards comme le proposent les républicains modérés.
Cette négociation a valeur de test pour la nouvelle administration démocrate, qui a constamment mis en avant, pendant la campagne présidentielle, sa volonté de gouverner dans un esprit d'ouverture avec le parti républicain notamment. Sur le plan d'aide, l'objectif est d'obtenir un accord bipartisan.
IMMIGRATION
Nouvelle mesure de détricotage de l'ère Trump. Joe Biden a demandé mardi 2 février à son gouvernement de faciliter la naturalisation des neuf millions de migrants éligibles à la citoyenneté américaine. Cette consigne figurera dans une série de décrets sur l'immigration que le nouveau président doit signer dans la journée.
Comme il l'avait annoncé il y a quelques semaines, Téhéran s'est engagé dans l'enrichissement de son uranium à 20%, a relevé l'Onu dans un rapport dévoilé ce mardi par Reuters. Un événement qui se produit alors que les Etats-Unis ont publiquement fait part de leur intention de revenir dans l'accord sur le nucléaire de la République islamique, si tant est que cette dernière revienne sur ses dernières violations de l'accord.
Pendant ce temps-là, l'UE a annoncé de son côté qu'elle travaillait "dur" avec l'administration américaine pour obtenir la levée des sanctions imposées par les Etats-Unis, seule clé susceptible d'inciter Téhéran à lâcher son programme d'enrichissement d'uranium. Mohammad Javad Zarif, avait incité la veille l'UE à "chorégraphier les mesures qui doivent être prises par les Etats-Unis et les mesures qui doivent être prises par l'Iran".
De multiples observateurs ont manifesté leur surpris en découvrant le nom de certains prétendants au Prix Nobel de la paix, ne comprenant pas les choix du comité. Logique : il ne se charge pas des nominations.
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