Suite aux nombreuses lenteurs notées au niveau du Port autonome de Dakar (Pad) depuis l'installation du Dubaï Ports worlds (Dpw), l'Unacois-Jappo demande la révision de l'accord passé avec la compagnie du fait de nombreuses contraintes rencontrées par les commerçants depuis quelque temps.
Dans le cadre de son programme de développement, l'Union nationale des commerçants et industriels du Sénégal qui vient de sceller son unité au tour de l'Unacois-Jappo, a inauguré hier le siège de la section de Sandaga. Au cours de cette rencontre qui a réuni beaucoup de commerçants, les industriels ont abordé des questions liées à la situation des marchands ambulants, au programme de la Goana et aux nombreuses difficultés rencontrées par les commerçants au niveau du Port de Dakar dans le cadre de l'enlèvement de leurs marchandises.
Hormis les problèmes administratifs liés aux tractations douanières, ces commerçants, par la voix de Mame Bou Diop, secrétaire général de l’Unacois-jappo, dénoncent d'autres contraintes ayant trait au nouveau délai de 10 jours fixé par Dpw pour l'enlèvement des marchandises alors qu’avant c’était 20 jours. Selon Bou Diop, il faut une révision de l’accord passé avec Dpw vue les nombreuses contraintes qui ont pour noms une plus grande perte de temps, plus de frais à débourser et des charges supplémentaires à payer.
Il indique qu’en plus des frais à payer au niveau de Dpw, il y a ceux liés au magasinage en terre pleine et charge destinés à la compagnie de transit. Pour lui, l’Etat doit prendre ses responsabilités et revoir les termes de cet accord qui ne favorise pas le marche des importations. S’agissant du programme Goana lancé par le chef de l’Etat, le secrétaire général de l’Unacois-Jappo, souligne que les importateurs vont s’impliquer si on leurs donne des terres.
D’ailleurs, M. Sy soutient que si c’est le cas, ils pourront commercialiser les produits cultivés au Sénégal, comme c’est le cas avec l’oignon et la tomate. Pour ce qui est de la question des marchands ambulants, les commerçants disent attendre toujours les promesses du maire de Dakar, Pape Diop.
Source: Le matin
Dans le cadre de son programme de développement, l'Union nationale des commerçants et industriels du Sénégal qui vient de sceller son unité au tour de l'Unacois-Jappo, a inauguré hier le siège de la section de Sandaga. Au cours de cette rencontre qui a réuni beaucoup de commerçants, les industriels ont abordé des questions liées à la situation des marchands ambulants, au programme de la Goana et aux nombreuses difficultés rencontrées par les commerçants au niveau du Port de Dakar dans le cadre de l'enlèvement de leurs marchandises.
Hormis les problèmes administratifs liés aux tractations douanières, ces commerçants, par la voix de Mame Bou Diop, secrétaire général de l’Unacois-jappo, dénoncent d'autres contraintes ayant trait au nouveau délai de 10 jours fixé par Dpw pour l'enlèvement des marchandises alors qu’avant c’était 20 jours. Selon Bou Diop, il faut une révision de l’accord passé avec Dpw vue les nombreuses contraintes qui ont pour noms une plus grande perte de temps, plus de frais à débourser et des charges supplémentaires à payer.
Il indique qu’en plus des frais à payer au niveau de Dpw, il y a ceux liés au magasinage en terre pleine et charge destinés à la compagnie de transit. Pour lui, l’Etat doit prendre ses responsabilités et revoir les termes de cet accord qui ne favorise pas le marche des importations. S’agissant du programme Goana lancé par le chef de l’Etat, le secrétaire général de l’Unacois-Jappo, souligne que les importateurs vont s’impliquer si on leurs donne des terres.
D’ailleurs, M. Sy soutient que si c’est le cas, ils pourront commercialiser les produits cultivés au Sénégal, comme c’est le cas avec l’oignon et la tomate. Pour ce qui est de la question des marchands ambulants, les commerçants disent attendre toujours les promesses du maire de Dakar, Pape Diop.
Source: Le matin