
Une des entreprises de l’opérateur économique sénégalais Bara Tall, la Sehi, a récemment pris feu, des heures durant, sur les avenues Papa Guèye Fall, à quelques encablures de la grande mosquée de Dakar et du principal Camp des Sapeurs-pompiers. Il n’y eut point l’ombre du président, encore moins d’un membre du gouvernement.
Pourtant, ils s’étaient tous déplacés vers l’immeuble Tamarro, où son fils Karim était prétendument coincé dans un ascenseur menacé par Pirée. Le président Wade démontre par ces pratiques qu’il n’a de souci que pour son fils. Pour Karim, il fait agenouiller la République, qu’il tente de lui livrer. Il l’encourage à courir le monde en jet privé, avec l’argent du contribuable sénégalais. Il lui a soumis ses ministres et son parti. En réalité, le président Wade ne veut que le sourire de son fils.
Du sort des braves sénégalais, il ne se soucie guère.
C’est ce qui fait qu’il se plait à martyriser des Sénégalais entreprenants comme Bara Tall. Celui-ci employait plus d’un millier de Sénégalais. Il a scié la branche de leur outil de travail, toutes canines dehors. Car, M. Tall est dans le viseur de son fils, qui lui reproche de n’entendre pas entrer dans ses pratiques de corruption et de coups de poignards contre l’économie sénégalaise.
Wade s’en est pris au chanteur Youssou Ndour, qui pourtant s’est échiné à créer des centaines d’emplois. Il en veut, maintenant à son architecte conseiller, depuis neuf ans, Pierre Goudiaby Atepa, dont le crime a été de se ranger du côté des Chrétiens, dont il épouse la foi.
Le président Wade est sur toutes les lèvres. Il travaille à promouvoir son fils. Wade a installé son parti dans la cacophonie, pour avoir élevé au-dessus de tous ses « militants » le dernier de l’empire : Farba Senghor. Message ne pouvait être plus clair. Il est libre de ses pensées et de ses desseins monarchiques. Mais, l’heure de la résistance a sonné : les médiocres subiront l’assaut fatal des braves travailleurs.
Bara Tall et Karim ne sont que des symboles. Le dernier n’a comme fait d’arme que d’avoir été un courtier dans une banque britannique. Il doit tout à son père. Le Premier, par contre, né d’un père bijoutier, après un brillant parcours scolaire et universitaire, sortira haut les mains de l’École polytechnique de Thiès, pour intégrer la société Jean Lefevre Sénégal, qu’il finira par racheter. Et en faire le fleuron du Btp au Sénégal.
L’association des Sénégalais de la diaspora n’a pas tort d’avoir réalisé un documentaire sur le Sénégal, qu’on peut visualiser sur youtube, dans lequel elle compare Karim Wade à Bara Tall. Karim est présenté comme un simple parvenu, qui n’a qu’un mérite : être le fils du président Wade ; pendant que Bara Tall est un symbole vivant de l’effort et du mérite sénégalais. Il s’est fait grâce à la sueur de son front.
En conséquence, l’association à décidé de soutenir le Sénégal par tous les moyens, pour faire partir le régime de Wade et rétablir la justice, l’éthique et le mérite. C’est dire que les prochaines échéances électorales risquent de pas ressembler au dernier scrutin présidentiel.
La Redacton
Pourtant, ils s’étaient tous déplacés vers l’immeuble Tamarro, où son fils Karim était prétendument coincé dans un ascenseur menacé par Pirée. Le président Wade démontre par ces pratiques qu’il n’a de souci que pour son fils. Pour Karim, il fait agenouiller la République, qu’il tente de lui livrer. Il l’encourage à courir le monde en jet privé, avec l’argent du contribuable sénégalais. Il lui a soumis ses ministres et son parti. En réalité, le président Wade ne veut que le sourire de son fils.
Du sort des braves sénégalais, il ne se soucie guère.
C’est ce qui fait qu’il se plait à martyriser des Sénégalais entreprenants comme Bara Tall. Celui-ci employait plus d’un millier de Sénégalais. Il a scié la branche de leur outil de travail, toutes canines dehors. Car, M. Tall est dans le viseur de son fils, qui lui reproche de n’entendre pas entrer dans ses pratiques de corruption et de coups de poignards contre l’économie sénégalaise.
Wade s’en est pris au chanteur Youssou Ndour, qui pourtant s’est échiné à créer des centaines d’emplois. Il en veut, maintenant à son architecte conseiller, depuis neuf ans, Pierre Goudiaby Atepa, dont le crime a été de se ranger du côté des Chrétiens, dont il épouse la foi.
Le président Wade est sur toutes les lèvres. Il travaille à promouvoir son fils. Wade a installé son parti dans la cacophonie, pour avoir élevé au-dessus de tous ses « militants » le dernier de l’empire : Farba Senghor. Message ne pouvait être plus clair. Il est libre de ses pensées et de ses desseins monarchiques. Mais, l’heure de la résistance a sonné : les médiocres subiront l’assaut fatal des braves travailleurs.
Bara Tall et Karim ne sont que des symboles. Le dernier n’a comme fait d’arme que d’avoir été un courtier dans une banque britannique. Il doit tout à son père. Le Premier, par contre, né d’un père bijoutier, après un brillant parcours scolaire et universitaire, sortira haut les mains de l’École polytechnique de Thiès, pour intégrer la société Jean Lefevre Sénégal, qu’il finira par racheter. Et en faire le fleuron du Btp au Sénégal.
L’association des Sénégalais de la diaspora n’a pas tort d’avoir réalisé un documentaire sur le Sénégal, qu’on peut visualiser sur youtube, dans lequel elle compare Karim Wade à Bara Tall. Karim est présenté comme un simple parvenu, qui n’a qu’un mérite : être le fils du président Wade ; pendant que Bara Tall est un symbole vivant de l’effort et du mérite sénégalais. Il s’est fait grâce à la sueur de son front.
En conséquence, l’association à décidé de soutenir le Sénégal par tous les moyens, pour faire partir le régime de Wade et rétablir la justice, l’éthique et le mérite. C’est dire que les prochaines échéances électorales risquent de pas ressembler au dernier scrutin présidentiel.
La Redacton