
Et, malheureusement, tous ces aspects internes aux industries plombent leur compétitivité. Le double défi qu’entend relever le Prmn, c’est donc celui de la qualité et de la compétitivité pour donner aux industries de l’agroalimentaire qui sont ciblées par le programme les capacités de relever leur niveau et de s’adapter à l’environnement économique et aux besoins des marchés régionaux comme internationaux. « On ne peut pas faire tout en même temps et, partant du fait que nous sommes des producteurs de matière première et que la promotion ou la maîtrise du marché régional et la conquête des marchés internationaux, nous pouvons nous le faire au sein de l’Uemoa sur l’axe agro-industrie. C’est pourquoi nous avons retenu de faire le test d’abord au niveau expérimental sur deux ans sur les produits de l’agro-industrie », explique le responsable du Prmn à l’Uemoa. Il y a aussi qu’Ajanohoun considère les industries agroalimentaires comme un secteur à fort potentiel de revenus et de valeur ajoutée.
A. MBODJ
Source SudQuotidien
A. MBODJ
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