
Implanté en 1939 par le vénéré Serigne Ahmath Sakhir Lô sous la bénédiction du célèbre marabout Mame Cheikh Mbaye Kébir, l’institut islamique de Coki, situé à quelque 30 km à l’est de la commune de Louga, est parti pour devenir une véritable université religieuse.
Il est caractérisé par l’enseignement religieux notamment le Saint Coran et l’arabe couplé à l’enseignement du français qui fait de lui un « daara » moderne.
Avec un effectif de 3.400 talibés venus de l’intérieur du pays tout comme de la sous-région, notamment du Mali, de la Guinée, du Nigeria et de la Gambie, le « daara » de Coki est un sanctuaire du savoir religieux islamique.
Selon le porte-parole de l’actuel marabout Serigne Matar Nar Lô, « le fondement de l’institut est l’enseignement du Saint Coran pour une formation religieuse solide de l’enfant, seul garant d’un futur prometteur pour l’homme ». Seulement, explique-t-il, même si la volonté y est, les moyens manquent et cela risque de compromettre la grande œuvre du fondateur. Il s’agit notamment de la prise en charge socio-sanitaire correcte et effective des enfants. Doté d’un forage, d’un poste de Santé et des logements, l’institut islamique de Coki a connu récemment des travaux de réhabilitation pour un montant de 30 millions de Fcfa entièrement financés par l’homme d’affaires Serigne Mboup, ancien pensionnaire du « daara ».
Ousmane MBENGUE
Source Le Soleil
Il est caractérisé par l’enseignement religieux notamment le Saint Coran et l’arabe couplé à l’enseignement du français qui fait de lui un « daara » moderne.
Avec un effectif de 3.400 talibés venus de l’intérieur du pays tout comme de la sous-région, notamment du Mali, de la Guinée, du Nigeria et de la Gambie, le « daara » de Coki est un sanctuaire du savoir religieux islamique.
Selon le porte-parole de l’actuel marabout Serigne Matar Nar Lô, « le fondement de l’institut est l’enseignement du Saint Coran pour une formation religieuse solide de l’enfant, seul garant d’un futur prometteur pour l’homme ». Seulement, explique-t-il, même si la volonté y est, les moyens manquent et cela risque de compromettre la grande œuvre du fondateur. Il s’agit notamment de la prise en charge socio-sanitaire correcte et effective des enfants. Doté d’un forage, d’un poste de Santé et des logements, l’institut islamique de Coki a connu récemment des travaux de réhabilitation pour un montant de 30 millions de Fcfa entièrement financés par l’homme d’affaires Serigne Mboup, ancien pensionnaire du « daara ».
Ousmane MBENGUE
Source Le Soleil