
Les actions que le pays de Gandhi mène au Sénégal oscillent autour de 65 milliards de nos francs. Elles gravitent autour de bien de domaines, dont l’agriculture et l’industrie. L’Inde est à l’origine de l’usine de montage des minibus de marque « Tata », qui est un modèle de coopération entre pays non-alignés. C’est cette dynamique que cherche à briser le par ailleurs ministre de la Coopération internationale, Karim Wade.
Il avait amené des multinationales européennes à décroître leurs activités au Sénégal et freiné la plateforme de Diamniadio, qui allait permettre aux Etats-Unis d’Amérique de participer au développement du Sénégal. Maintenant Karim s’en prend à un partenaire stratégique de son pays, symbole du refus de la fatalité et de coopération pour l’émergence. Car, du fait de Karim, la Commission Indo-sénégalaise tarde à se réunir. Qui trop étreint mal embrasse. Or son père lui a donné un immense ministère et des agences transversales. Or, Karim n’est pas omnipotent.
En lieu et place de se décharger sur un de ses collègues du gouvernement, il s’est tourné vers le ministre des Affaires étrangères. C’était pour lui demander de s’inventer une « infection pulmonaire très aiguë », pour que la rencontre de la Commission ne se tienne pas. Pourtant, Me Madické Niang le devance de loin dans l’ordre de préséance du Gouvernement. Mais, le premier diplomate du Sénégal tient tellement à rester aux affaires qu’il est prêt à boire l’eau de la vaisselle, pour ne pas être chassé par l’inconscient fils du président. Son père Wade l’a si chargé de tous les pouvoirs, qu’il ne sait plus que faire, faute de pouvoir être omnipotent. Son coefficient intellectuel pose, également problème. Le patriotisme, Karim l’a bradé pour ses propres intérêts. La diplomatie, la coopération et l’économie du Sénégal souffrent de ses agissements.
La Redaction
Il avait amené des multinationales européennes à décroître leurs activités au Sénégal et freiné la plateforme de Diamniadio, qui allait permettre aux Etats-Unis d’Amérique de participer au développement du Sénégal. Maintenant Karim s’en prend à un partenaire stratégique de son pays, symbole du refus de la fatalité et de coopération pour l’émergence. Car, du fait de Karim, la Commission Indo-sénégalaise tarde à se réunir. Qui trop étreint mal embrasse. Or son père lui a donné un immense ministère et des agences transversales. Or, Karim n’est pas omnipotent.
En lieu et place de se décharger sur un de ses collègues du gouvernement, il s’est tourné vers le ministre des Affaires étrangères. C’était pour lui demander de s’inventer une « infection pulmonaire très aiguë », pour que la rencontre de la Commission ne se tienne pas. Pourtant, Me Madické Niang le devance de loin dans l’ordre de préséance du Gouvernement. Mais, le premier diplomate du Sénégal tient tellement à rester aux affaires qu’il est prêt à boire l’eau de la vaisselle, pour ne pas être chassé par l’inconscient fils du président. Son père Wade l’a si chargé de tous les pouvoirs, qu’il ne sait plus que faire, faute de pouvoir être omnipotent. Son coefficient intellectuel pose, également problème. Le patriotisme, Karim l’a bradé pour ses propres intérêts. La diplomatie, la coopération et l’économie du Sénégal souffrent de ses agissements.
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